plus obscures. Sa longueur est d’iin. pied, èt saj. grosseur de celle
du doigt. !
II se trouve sur les côtes de l’Islande. 1
Le J GoNîtÉirLE AN GüIÎLLAIRE.' ! >
(GurmeUus anguillaris^ nôb.; Blennius an gu illaris, Pallas.) .
Le blennius anguillaris de Pallas1 diffère beaucoup des
deux- gonnelles précédens, parce que ses : ventrales | sont
moins incomplètes. Cest, d it-il, blenn*&ïÿe&v&
plus-longs.
Le corps est arrondi et diminue insensiblement en arriére. Sa tête
est d|pftntième de la longueur totale, oblongue, comprimée, un peu
conique, à museau un peu,.obtus. Sa mâqhoire supérieure est plus
longue et reçoit l’inférieure : toutes les deux ont en dedans de .leurs
bords des dents ^ét|ueées. très=fînfsj la bQuche.^est bien ouverte; j§&;
maxillaires sont élargis en, arrière. Un des orifices de la namiè est
tubuleux. Les yeux sont médiocres, rapprochés, voisins du mu-
sé&u; les opercules longs, plats, anguleux en arrière, inerines r;éfc
mous/ La membrane branchiostège, fendue/en dessous jusqu’à la
mâchoire, a cinq rayons. Les pectorales sont grandes, demi-ovales.
Les ventrales sont petites ét paraissent avoir quatre rayons, dont
l’externe, plus long, les rend un peu pointues. La dorsale commence
" à la nuque ; ses rayons sont épineux; les premiers up peu plus courts :
l’anale les a mous, à trois pu quatre branches : èlle commence au
tiers antérieur. Là caudale est grande et ovale.
B. 5? D. de 67 à 70] A. de 45 à 50; C. 14; P. 14 ; V. 1/3.
Les écailles sont imbriquées et molles.
La couleur est d’un jaune olivâtre, plus pâle en- dessous, avec
, cinq bandes longitudinales, brunes, parallèles, interrompues, alternativement
plus marquées et plus pâles ; le long de la base delà dorsale
li Zoogr. ross. ? t. in, p. jjyù.
ën règne une çonfijluç- et,nomet !Qes lignes, brune^. traversent la caudale
, dont le fonu^&Jipiyjs. La ’dorsale este, q un brun jaunâtre;
l’anale lire; auu-Jauve.
/i-Æ-est un des plus' grand^OAD^ksA.Ii y en a,,d’un pied
jet demiijSqmblàble pour dâ. fqnnç,, il ne lui.ressembleras
moi^.pàr„sa* yi^dure. ILmesi na§ ra^g^sjtr, les
côtes du Kamtschatka aux îles Alètitienne», ainsi que le
long voisines,(le d’Amérique : Billings et1 Merk y
en pruent plusieurs bèaux^hMntillons.
„iö.s^Kapitschadales^le nomi%qnx Àânpiise7*r
M. Eichten steint a bien.y ©plu npu^cpmfi^r lesdehxech'àn-
tillons.'deo;@eî#gonneUe^bd©aÉiés au Musée jjle ^Berlin par
Rudolphi^qui a.aehptë^les p©lisons de *Paîlas lui-nffme ; et
oùnous^aVoftfs^refeönnu l’exâctitudeWè la pitié grande partie
dé?Jê§îlR destSrip’tio’n.' '
,Le.peudant'-ntiqtiVY^I-9P^^0I^t>té six ray<msî.aux pm£S; les jVen"
traies, ont biên règlement une ^épine et tous» raypù& yrticulés. La
dorsale,a spixaktë-huit ra,ypx^y;tqus^épineuxi l’anaîb^deux,‘épineux
et quaVante-tro^mpus; l’une et4l’autre finissait à lajfaeine'*me de
la caudale, du douzièmeénviionun^longueurî'gitâle,et quia trois
rayorr^ri®l.pl'èsi«n dessus ^ taSis'èü äfes^Ps et^mnze’hMnchus.
"La pectorale est röride et-a dèux-rây-prî^simples et treize branchas;
- sa longueur' est treize1 fèî£ -et demiqjtdans'îeèlle du- cÔr'ps ; il y ‘-a-tout
le long dix dös1 et ties* flancs 'trois‘ bandes bru'nès, dont béptf&Mière
e ' ; touche 'à la d orsale1 èt döMljä infdirpÄä"^ue , ë t# ois
suites. de tacbes brimes, 'dtitib deux dans les tintérVaHës dés-bandes
et unetau-rdessOus de la troisième.- Les Hà^oiWPÂât^dè 1k couleur
pâle dufopd et-sans tache..
B. 6,; D., 6 8 ; A ..2 /4 SQ ..â , 1 5 , 3 ; P. 15.; Y. Iß-.
Un individu, long - de dix - neuf poiïcpis, fe|t' dfessétihé;
l’autre, conserve daiis l’alcool, a neufpotiées trqis lignes de
longueur.
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