mais, par une faute d’impression (5(^00 au lieu de 50/50),
Gïnelin a ajoütédixrëyons mous aux cinquante épineux
dé la dorsale ;'cë ‘qui a encore1 ajiutë.àux einbarràs dë cette
nôniejnclaturp.
‘ I l est très-probable .que le crested blennj de Pennant1,
que eet auteur prend â.ussi pourle ga/m'ta^stpréeisément
respèce de^xrcran, bien que les n o n ^ ts ^ que l’on ne peut
déterminer que par la figure, soient un peu diifféreus :
j D. 54; A. 31.
1 A en juger-pùrcette figure , ^sbn profil ressemble beaucoup à celui
i , des salarias. Sa-hauteur, qui est aussi lâ> longueur de sa tête , est six
fois dans sa longueur totale» Il a au sourcil un tentacule de la bgiii
teur de l’oeil, et u,n ^euplusrei^^ïant u n plus peut, quïlàe
semble cependant pas tenir a la narine. L’oeil est tout près du front
La d c jrs ^ . bass,e,el; égale parto.ut, montre cinquante-quatre rayons,
~ ^ n ’attemt pas tout-à-Æut l’anale en a trente ,efr*n. Les
ventrales sont extrêmement petites.
Ce qui est singulier, gest que la description d ^ e n n a n t
iiéPse rapporte point a cette figure et ne paraît qu une tra-
duction dë rarticïe d’Àrtedi ou de Linné.
9! Bonnaterië dans l’Encyclopédie méthodique, p .; 5à ,
combine cette description avec les nombres donnés .'.paf
Êinqe. d’aprls Stroem, et M: Turton8 avec les nombres
fautïls donnés par Gmeïin, touj ours pour représenter le
âalerita: ■ • . ? • ■ “' V,
*J !qui paraît encorë identique avec celui dont
nous parlons ou, du moins', q u i jen approche infiniment,
est celui quÀscanius représente, et toujours sous ce nom
de galerita ou, comiq.e il le traduit, soiis celui de brosme
1. Zool. lait., t. m , pU S5J n.°: 90. — % Briiish fauna, p. 92, n<° 3i.
toupée, qui est devenu' le blennius Ascanii de Waîbaum *
et le centronotus brosme de Blbcïi*; en voici la description
telle qu’on peut la prendre de la figure d’Ascanius.3
Le corps est.iddngé comme à une anguille, obtus en ayant et en
arrière ; la tête petite, ovale, renflée latéralement ; le profil descendant
et arrondi.. Les deux tentacules antérieurs et courts, sont au-
-/■.*devant de chaque orbite;les deux autres, trois fois {firfs longs, sont
aux .sourcils,.et,,iby en a ènçerèdeux plus longs a, la. nuque. Les
yeux sont grands et proéminens, les mâchoires presque égales, l’in-
férîeure cependant un peu plus longue. L’ouïe est ouverte. La dorsale,
loqgueet bass^,. joint la caudale et n’a que deux rayons épineux. Ses
deux premiers' rayons, plas longs que les suivaisj se terminent par
trois pointes et sont ciliés supérieurement. Les pectorales sont arrondies;
lès ventralesexçessivement petites; l’anale demeure distincte
de'la caqfkle, qui est petite et ovale.
B. B; D. 56;'A. 38 ;C. 45; P. 13; V.-2,,, I
Tout le dessus èst fauve, qui se change en jaune sur les flancs,
et en blanc sur lé ventre. Des taches lenticulaires pâles, au nombre
f de Ueuf^sënt dispUséëss lè long de chaque cèèë dû dos* Les peeto-
rales et la caudale ’sont rougeâtres, les autres nageoires jaunâtres.
Saj;lopgUqur}est d’un pied.
On le prend, mais rarement, sur lès côtes de la Norwége.
L’individu figuré par Pennant, qui n’avait pas les deux
prémiers rayons de la dorsale alongés, était peut-être une
femelle.
On hésitera encore davantage à placer parmi les gonnelles
les deux poissons suivans, qui vivent dans la mer du Kamt-
schatka, et dont on n’a que des descriptions encore moins
complètes.
4. Artedi re rw .^M , p. IS $ P 2. Syst. postb., p; 16 7 ^ 0 .* p — 3. Ascan.,
Icônes rer. nat. | pl.; *9.