près du tiers de la hauteur dg la tète, deux fois moins large que
haut, mobile e t flexible, semblable, en un mot* aux tentacules
par la substance. I
Ce poiçsou ressemble d’ailleurs apsez au, Bl. palmicorne, mais ses
dents sont plus fines et plus nombreuses j il en a^pfès de .soixante
à la mâchoire supérieure, saUs canines visibles ; tandis qu’il s’en
trouvé une très-forté, bien'sëpafee | a3l’amëtfe^dè“chaijuë®^§téJ®e
l’inferieure* qtii n’a que ‘quarante dents ordinaires. Sa dorsale t&j
plus déprimée entre-sâ partie épineuse et sa partiearticulée que
dans les espèces précédentes , et son bord postérieur ne s’unit pOint
au dos de la queue j il en est de même de l’anale, en, isorte -qu/il
reste un peu de queue sans, nagepire_avant- la ç.audaje..f?es ventrales
sônt.du huitième à.peu pçès 'fie la longueur dh pôrps.. Sa ,'hgnë
latérale suit en ligtie droite le tiers supérieur du corps. ’/
■ D. i é 0 ‘ Crû; P. 14-
Tel que nous l’avion,s dans la liqueur,' cfepôfesoil paraît d’un
brun rôuSiS'âti'è. liés côtés de lsritêté* ont dé petits qièînts5 bruns ;
le long du dos, ' a la base-de la dorsale,^oht-six ôu'isept-largfes
taches irrégulières noirâtres; les flancs sôfitt sèmes ctepêtitçs taches
rondes, ou gros points blanchâtres oh argéntés , dont une partie est
disposée en une ligne droite ou sérieconrinueparletiejs inférieur;
la gorge est finement pointillée de blanchâtre ; les nagpoire£ sont
grises,, et l’on voit sur la bande une série longitudinale dépeints
bruns quigoccupent lë milieu 3e la hauteur ; l’anale a le bord brun
oii ifeirâfie.
Notjs n’âvons de Cette espèce que deux individus/un de trois
pouces ét un dé deux.
Le B lennie de Montagu.
( jBlermius Montagui* J. Flemm. JBrit. anim.^-p. 206,, n,°
et Yarell, Br. Jish, p. 219:).
Le poisson que Montagû, dans les Mémoires de la Société
Wernérienne (t. I, p. 98* pl.'5 , ftg. 2>), nomme galerita,
pourrait atissi être rapporté a celui d’Artédi, car i^ a iégalcment
uit; làmBeaiu^^i^wef'iei ët impair, 'mais-xe - lambeau
est sur lei;crâne.et noîmpas^èntre'test/ÿëux ^'et’d^ailleü'rs1 cè
petit blénhiejaides caïactère^si’ particuliers | quails üè pourraient
guèfe avoir été>passéfe'%ous silence parjUn -si habile
observateur. 1
Sa tête est carréfeXomme" aA tri^lûïBe’/ e t son*muSeaW’corîsé-
Ul b^ittllié-, d8als à
chaqne mâchsire, iet üne copine en arrière’. ^ujeiïiënt:
. II n’af point de tehtacules,tauâ soujcils, . ^
r . aux narines. Le “tenïacaile.3upiqimf -situé sur^îC-èrâ-ne/ up, pçmen
arrière des; yeuxj est«pet-itf', triangulaire,, cilié, ht dexpcreriui5 • sÇ-r
la nuque est une suite longitudinale ue quatre très-petits- et trçès«
iJ "* cq urS^mam en s charimk*’Sà doïsld^est peu eFevée/ mais, fiîntemént
< Vj ecbàhbnéfcnïre ^ses* rayons1 cpihè’üX et“ les 'amculesf ï l y à ,üri inter-
vâllëj sensible sans* riâ^eôirès en avant ^Te'-la'caédalfe. Lès pectoiâlës
qu^rt idc la lQngueür du’nôrpnjXtS æswèntrales le huitjgMiri
D. 42/16; A.jWxflL'P. h-, V. 2'. ^
Dans la liqueur pa®ît grisrheun ay$p jdes tache^ blanchâtres
qui forcent des espèces.-dn, marbrures nuajgft^s®^|§br fgs^flancs ;
la gorge est roussâ,%e le ventre et lés ventrales, sont blanchâtres;
les autres^ nageoires qpt des points ,bruns qui’y Tonnent des sériel
’ / en tri^é^s?de lenrs râÿoüS./^
Un dessin fait a/Nice, sur le f r a ^ par M, Lapiilland^
a le fond de la couleur vert ou bleuâtre, et les marbrures
argentées3 le long du dos sont si^.ou sept taches,rouls^tres,
pen pr$no|icées; les nageoires-sont jaunâtres et.leurs points
roussâtrës.
Nqs individus natteignent pas .trois pot|c,esr JIs viennent
de Naples par M. Savigny./ et de -Nicè par M. Laurillard,
Nous voyons par l’article de M. Montagu {loc. c iL p .td i),
qu’on en prend quelquefois avec des pholis et des gattoru