500 LIVRE iXÏV. «OBIOÏDES:'
. teès-4 éQ0jwert^lès Ife^siÆwpwefeet' pendantes!
rieur s dépasse un pfeu 3^ ill^ ri fùr^à%,i^ iî® ê l^W î0!ll
. déîdepte jçff w^tiç^^fpit larget aumilie,ij? et^e rang ^ t^ p u r . un
peu plus forà: u | 'e n â ipie-petit^ p l a ' u u ç l a
ïanguâ^t libre, lisse èt poûttfe. Du bónt de l’ethmoide s'avance
•sur là mâëboii^supérieure, mais sans ^ adnCTêlè^ub lânibéàü éhaTïin
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peu J » » * SB@|^flfeâtii6 B k JsjbïpbÿSe de la
mâchoire inférieure en pendent huit semblables, disposés sur trois
rangs : trois aux deux prémiers, deux au trôiàème, un peu plus
longs qèe les autres|Skîlctâl«est un péttütentaéule pointu, et il
y en a nn ■ semblable et. prfjfeue a p ^ grmd àJÇouyë||nre1 antérieure
de là narine; la pôstérïeüi^uà qu’un petit rebord.
L ’opercule osséuk-ét le subopercrdé formént deux pointes obtuses,
■ “ Vo^kr^érolnt Ouvertes j embrassant fisihme par
leur1 réimion^ sans y adhérer : il y k à^châdune six rayons robustes.
ÏT^aule rfa fqtî’un repliée'la peau au scajiôâife!* La peëtoéalé est
' éèn'dè, du heurièmé environ de
rayons.-Les Centrales, iPpeu près de{nkàneidongûesab,tso^lçiifcr
. chûes j usqu?aU milieu et ont un. petit, appendice aiî .fpté interne
g. .de ,lenr partie entière, ;■ ggg|. gstgtt:;1 ,U: :r :r j "Zg|| (Si
La dorsale» dp quart^environ d e . k f e ^ V ' |É|
égale, si ce n’est Vers, la fW ô ù elle s’éïè|e un. peu,'commence à
l’aplomb du bord montant "du préopércnle, et se 'térrnmé juSte'à la
' basé de là caùËàlè; » ^ S ^ a rà n tè itrd is 'o u quâratftd-qnàtfe râyons
épineux et huit mous, jj , . _
la ;caudale.h’a guère,que lé: dixième de là longueur tptale, On y
compté(treize rayons,: il y en M | i W 44 É ^ i ^
j l àranale/qiâestbassécomro^kdorsale.lc^menee.aprèsle.quatr^me
,. neùyième;de la longueuLtotalé, et laissé, en acsière ,(ayant la caudale,
/ a nn espace égal à- la moiûéj de. cette dernière nageoire.
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, L’anale estpréfiédéf d’w organe en foj-ffle diverge, cylindrique,