eépoles, desilotes, des rhynchobdelles, des loches , et jusqu’au
sdharmüth^ilurus an^uillarisÿ Lin.}.
Plus Nouvellement, en «Soi:, un genre* un peu moins
mauvais, mais qui l’esbencore beaucoup, reparaît,sous ce
nom dans le Système posthume de Bloch, p;i 5oy où il com-
prend des lûtes, des lingues, idés.bfosmes, des brotules et
même un percis|ietle blennius viviparus n’y entre pas.
La détermination de Gronovius | intermédiaire pour la
datCfùstplus précise quant airs earaetèrÊSitSix rayons *b ran-*
chiaux et de petites ventrales jugulaires hy laisseraient guèrè
entrer que nds?zoarcés;imais réquivoque qui eti résulterait,
et surtout le sens aujourd’hui plus généralement attribué au
nom d’après Bloch, ne m’a pas permis, non plus qu’à M. Çu-
vier, de le conserver. Üous avons en Europe une ësppce, de
zoareès-j célèbre depuis long-temps par la faculté,; assearare
parmi les poissons osseux, de produire des~pe.tits vivans,
et qui lui donne un rapport de plus avec les blehiaoïdes;
car elle est partagée, ainsi que jé M établi plus -haut, par
le clinus superciliaris et je crois encore par toutes les autres
espèces du même genre. La poécilie, l’anabieps en. jouissent
aussi; mais à l’époque où Sehonevelde fit connaîtreJce
zoarÆès,;iliéiût peut-être le seulpoisson osseux où on l’eut
constaté. Lès réflexions que j’ai présentées au commencer-
ment de ce livre sur la viviparité de ces poissons et la difficulté
de comprendre comment se fait la fécdtidation in té
rieure des femelles, se renouvellent ici avecplus de force
encore que pour les blennies, dont les mâles ont au moins
quelques houppes derrière l’anus ou des crêtes particulières
qui font distinguer le sexe. Dans leszoarcès, c’est avec peiné
que l’on peut reconnaître le mâle à l’extérieur; a 1 intérieur
on voit les laitances donner leurs canaux déféyehs exacteme
n tri^e 4a? même; manrèreque dans les autres; poissons
ovipa#ewLe retiflement musculaire dans la vèrgë dés ëlinus,
que j?M‘ comparé au bulbÔ-caverneux, n’existé pas;‘il d’y
a pas non plus de musblêl jsçfiio-caverneux. Aucun appareil
ëjnculateur né paraît donçt,dgnnéa'des poissQns qui ont un
mode de reproduction |siî,reiparquablje>, par le nojtpbjre de
petits vivais^ qui en est le ^gs,dfiat. s
L’Amérique- en possède, des-espèces .pins grandqn, mais
nous me* savons pas£si elles sont vivipares. | il
L e Z/©'A*çèS‘vWip^R|;.' 1 -i
(ZQarce&gwip&mtf, nok* Blennius viyiÿQrusA Lin.),
■' Sa hautfetir aux peétdràleS^'est environ neuf fois dans sa'longueur ;
I son 'épaisseüf ^êst- des deux fiers de sâ hauteur. La longueur dë!sa
i tiers plus
« 'fo'B'gîïé <|ue- haute , et- d’unaiers’jaussi plus- haute que large.1'L’oeil
est au tiers antérieur, prèsdé la ligne du profil, qui, d’abord presque
horizontale,' eommend^u-dessus de l’oeil k'sé courber enârc pour
descendre au bout du museau: Le diamètre'ldrigitüdînal de l’oeil est
' du^sMbmè èfiviroh^d'e la longueur de la tète"; et fl y à d’un oeil à
'PiutTe 'lès deux fiers' dë: cë 'diaMêtré'j Cè h ù te s t^ ù s # là' hauteur de
4 FosilVL’orfficfeïfiférieur d e là narine, garni d’un petit tube 'dhàrnu
près à égale distance‘de l’oeili-et'du bout du
-: museatù ; le supérieur est un peu au-dessus, et ne consiste qu?en un
point à peine visible à la loupe.: §
Labouche est fehdüe jusque sous le milieu de l’oeil, et garnie de
lèvres membraneuses et' molles, assez amples. Le maxillaire/ne" dépassé
pas beaucoup la commissure, et la dilatation de son extréûàilé
prendla forme d’un fer rdç hachg. Chaque mâchoire a Un rang de
dents coniques, mousses, serrées, au nombre d’environ trente, et
en arrière,^ dans' sa partie moyenne, un deuxième rang de dents
setnblahles, au nombre de dix ou‘douze, en sorte qu’il n’y en a Sur
les éôtgs qu’un, rang simple, et qùau milieu il est double. Toutes