2 4 4 I^V&E rXïlfe GÔIBKlïpjlS.
^ordinaires £oi^fort petites; ses l&vres ne sont pas crénelées. Au-
dessus-6e chaque oeü ;pts ^ tew^ul^ cp#iqçe dp-la h§ntëuri de
l’oeil : dp*-cfe[que .coté- dê4 anuap.e^êà. |est„un>feàa|^)up ph§^ petit;
l’onfid^ antérieur de la nqjgpOTen a un.-très-petit, pghné, à; trois
ou* quatre brins. La c^êtè, est comprimée., dpmi-çllintique,. up peu
. inclinée en amère. du cinqûièïhe environ de la hauteur -de la tête,
et deffif ïois'plus îongdl’-qtiè Mifte j i l ^ ’^ un petit intervalle entre
;elle et la ddrsàlq,* ,qoi ,e|t à,pei^prè*s de la de|pi-hauteur^du gcorps
ettéjgl^ànprée. jusqu’à ,in,oiqg;suyJgJlerniffl; r^yon^ simple, qui est le
treizi^çae et de moil^plus'poi^^qjae les' autres,. Elle s’attache en
arrièrejà la base de Ja-caudalë sûr un quart dejsavlQngue,ur. ;
La câudale estarrondié et du sixième, de làJtmgpeür totale. L ’aUale
| commence/sous.déchancrdrè^’de^ ]a dorsale,’ ést d’un .tiers moins
haute, ët llîss^f entre .elle et la ëaudale'un intervalle.djPçlouzifeme
de là longueur tcrtale ; "l’extréhjitn Jibr.e. de -jpsï rayons est-Gommeg
fongueuse. La long^ûr, des pectorales est 'duçsixiêaierde celle du
poisson,- et-jpelle des ventrales, dû neuvième. Qu-d^^dixieme, - , ,
B^76; D. 13/22; ou 26 en comptant .les jt eüx prerrâferg ^ffiUiîAOrrtrtretits et
trè%-mous,’et2ÿou~24 en ne les comMant pas;-C. lT'entiçfs; P. 14 ${. 2. ƒ
Les ihdivîpus les mieux ' conservés paraissêm olivâtres 'gvee lmit
■ paires"dFhahdès'vènicalès Irunes, um’péuhyfséls v e r s J# ^ s ,p u ^
ellesVétexident sur la base de la dorme; eUes^affajblissçrtt vers lè
hasfns^le ventre et la ^ o rg en ^ i ont point^-il y/en a-une oblique
^ û r là iouei>Surla- dorsalg sontfrde- ndfeibrèiii^ ^ ^ ies t)bliqtàés qui
Igtraversent*^ partie m^rieur^qae'-magu^re qmhjLen^# toujours
quatre, l’une au-^desfjïs d^ ’autre:*l’anàle en â^trois longitudinales,
dont l’iiaférieure disparaît -quelquefois :*®es lignes semblent âypnété
blemtres.^-.
H y. a deg in,diviqps • sajris/cjpte, semblables dlpieurs en .toutes
* ' 5 thtisW à f cekp qüe' je viens dé décrire ce'n?est que les rayons,
ddftur anale n’onf poirit’dê'fongd^téf ceTsont des femelles.
mais,dân#jlj|i dëi|%se^^iës teiàtes sont subites à bëaùcotip de
variations.: certainsjlâdiyidus .sont beauponp plus bruns ;-il y en a
Wÿhyp4 ^s iverti(kI&idisÛÉ?aissent J ans, une., teinte générale d’un
pyj-m npîrâtre? -oùdës p i g e p i : s o a t , presque* poires,et