deuxjaitances' sont grosses et: longues : elles occupent plus de la
moitié postérieure de l’abdqmen. La ^e^î? natatoire est grande;
éile tient tonte ia longueur de la cavité du venire. 4iQ|é|ieù?ei^ent
elle se divise en. trois lobés courts, dont le'mitoyen e§t lui-même
un peü-échaàèré à sa pointé.
indépendamment dèvôe qu’on "voit -à l’ëxtêriëür, le squelette de
té capiton différé atissV’èn plusieurs points de célulfdû cépliàlèl Ses
> • iés du nez sont moins-farges em avant ; son interpariétal Occupe plus
de place à;^ai feee supérieure du crâne; ses opercules -se rëcoürbént
davantage de ïèur ■ bor<ÿsnpéëiéi%‘^ d lé '^ o n t près de ïarticuïation
! une forte ééhaücrure 'arrondie, dont on ne Voit qu’un V’é'stige dans
le céphale^ La branobe mastoïdienne de son surscapulaire est presque
tedüitè 'à rien.
•Le. prince de Musignano .a donné une fort bonne figure
de ce muge dam g^Laune d’Italie. Il,le regarde ayec.-ra-ison
eppime, le plüS^cQmmuD; ,de.,Î50.uteS uçs mers d!LuRC).pe.
On ën fa it des jp è ë h e s . abond antes !le long des rivages,
av e c 'dès filets .appelés -etf1 italien tm ig g in a ra . Sà’ GhaÊ^est
aùssi b on n e q u e g elle du^üépfiale. AÆtomè on-deâ ,Ri ompae-
e e fa lo c a ja m it a , en T o sc an e a cu ç co tto^ >su r les- cotes çje
la Romagne e t d u Pisan b a ld ig a r e ou. b a ld ic a r a , à.^eüiRe,
lo tr e g a n o . .
Voilà donc deux premières^ especes qui, bien que fçrt
sernblablesippur un observateur superficiel, quoiqne^ivant
en partie dans Je s taëiqesueaiix ,;èt arrivant sà .peu.pràs à la
meme taille, soht faciles à distinguer lune de l’autre, pour
peu; qii’on les ifegaMeâÿëé ât?tëntrOn;; D ans : lë c é p h a le lef
museau e§t plus ’obtus, les dents sëntplus fortes, lë bout
du maxillaire est' caché dans l’état de repos fie voile graisseux,
qui entoure les yejjxs, ne ,jés laisse apercévqir qu’en
partie par une oip^erture ..ovale .t|e moitié moindre que
l&iir globe;;! il y ajSurVaisselle de la peetotpaletune longue
écaille pointue ; et daqs le ; capiton • le nmiseau estten coin,
lefdëïfts ne^^përëàîverit qü’à la l!oupe;lfe maxillaire j quand
la bauëft’mèSt fermée^ laisse vôîfï son' extrémité en dëssous
a e ïà conimi^ure des ïevres; le globe.de' l’oeil est' entièrement
à decpuvert^réçaille sur faisselle de la pectorale est
courte et obtuse ajoutons q q ^ o n voit souvent une tache
noire sur la,bas,e de cette nageoire, etc. (
■ Bientôt nous? verrons une troisième ^espèce encore plus
distincte jamais- avant d’en parler pnous devons en décrire
deàx qui se rapprochent beaucoup du ‘capiton, ëf bien
plus que celui-ci'ne rè^sëipble àtiVéphalë^ce sont le muge
doŸë et le muge sauteur, nommés ainsi pkr M. Risso,
, * Le Mudë do're."^
Ü pM ugil auratus} Risso.
Lp muge doré?$$1 que M. Savigny^â reçu de M. Risso
lui-thêmë,
a. la tête moins .large d’un quart que Ie “c^phàljeV ee qui produit
un effet fiès-seüSiblfea la Vue;1 elle'est aussi pluslbouVté et, comme
celle du capiton, comjprisè cinq^foWdans la longueur‘tfÊ&àlè. Ses
dents sont'âuséimarquées qu’au céphale, et par conséquent beaucoup
plus qu’au capîtôlirLêspfiïicés de sanannësont rapprochés b^Mnre
dahs’ce dernier, ëtTespécé^qui est entre etix ne lait pas moitié de
célui qui entré"l’diivertubé postérieure et l’oe iljle maxillaire ne
se recourbe pas, et4dans f’état de repbs’ il sfe cacSilî ioüs le sôfrs-
iOrbitaire comme dans le céphale; mais'le sdus-ôrbitaire est tronqué*
‘ ohliquerbent, et: relevé d’une arête comme celui du’capxtoin. Il a le
bord antérieur droit et sans échancrure. La ligne du profil est aussi
drojte: La peau des bords de l'orbite est un peh épaisse et a de même
une ouverture! ronde qui ne' couvre point le globe dé rtMpAespèc-
to’rales feont plus. pointtiêS et un pêu plus longues que dans la plupart
des autres espèces, ët né son t ‘cOnféntfes que shPfdis’ dani la