CHAP. IV. TRÏPTÉRYGIONS. 505
Dupjçrrey, en ont pris un dans les rivièresde ce pays, plus
grand que celui de;la Méditerranée*
et dont la tête, est plus grosse et le profil un peu plus bondré.
Sur chaque oeil il porte un très-petit tentacule ovme et dentèléi1 t
D. 5 — 19 — 12; 17 ; P 2#
Dans la liqueur ü-paraît d’un brunrûussMré, plus pâle .Vers le
ventre , av^c ,quelques nuages peu apparens d’un-brun plus foncé,
formant comme deux raies longitudinales. Sa première est
noire, la seconde grise, et noirâtre vers le bord; l’anale est aussi
grise, à bord noirâtre ; mais les bouts de seS rayons soht blancs :
' tout , lé reste dés Uagebires :est gris.
Il est long (le trois pouces.
L e T r ipt ;érygion v a r ié .
■( Triptërygioh 'vàriwnyndb.- jBlerinius (üciriùs, Forstl) :
^ ’S$ûs,trouvons dans les dessins„dgjJjprster, conservés à
la Bibliothèque de Banks, un poisson qui y :.est nommé
btenniiis varius, et dont la description par le même yoya-
geur a été insérée dans lé Sÿstème posthume, dfe Bloch,
p. y 8. Ç-est évidemment un triptérygion, et même assez
voisin du précédent. :
Ses mâchoires, et son palais ont des dents petites et rassemblées
(en velours)j son corps est écailleux; sa tête li§se; la ligne latérale
invisible en arrière ; et il a trois dorsales.
B. 6 ;I).'5—24 —14 ; A. 26 ; C. 14 ; P, 16, dont les supérieures branchues ; Y. 2.,
Son corps est semé de points bruns. On voit sur des opercules et
la poitrine, avant la pectorale, des lignes verticales dont l’auteur
ne nous dit pas la couleur. La première dorsale a une tache noire
à son sommet; la seconde a du blanc à la pointe de ses rayons et
quelques taches rondes et blanches. Il y a aussi du blanc à la pointe
des rayons de l’anale.