De l’examen attentif que nous avons fait de eç$>pe»is&ons,
au nombre - de près de 3o -inawidûSjiil e§t >réjs*tbé aqifjls
peuyenkêtre rapaengs^six espèces, toutesJejS six plt& voisines,
de qous^a^Ons spiépialeiqent; appelée -le M,
cephalus, que? d’aucune de £ autres- espèces j européennes,
et^en .même ternpS|. toutes, lès., six,, [asse^v-semblables entre
elles: pp.qr. q.u,eTon ait du les çonf'Qndie, $ionjnelesavait
pas vues || unes des-autres, eu sorte que la ‘synb-r
pymie.vdf£ ipTewiçp*3$£§£^t§u^.iP^ê^a;^ujdUï^fort;.pEQ-;.
blématique %Jeur .égard. Elles ressemblent au eépbale par
leur maxillaire enbèrement îeacbé.,s0ns le so^s^orbitaife
dansj J’^tat de^jre^ps* par département des orifices: de leur
narine ; par le voile d’une peau ';adif£eàtf$fèé ;qui: réduit l’où-;
yertipe au-devant de, ieu.rüqÿl à; une ellipse verticale; par
le u rs« § ||s mimm r p ar le tubercule simple de l’inférieUrè;
paiJes ^aùdesi.é^^yLes trôgngulaiÿeg plclcées1 !4Urdè§l|üs de
leurs peptoraieS; /Toq^il©*, six:rdiffèreut.pep|ndant du!
cépbale par unq tête plus.eonrte., plus baut%à la nuque,
et par un museau m o ii^ j^ p ^ p e ç ^ p in s pbtuSf r
. Entre elles, elles ne diffèrent guère non plusqueiparda:
proportion de la tête avec igfçOFps j par la^ pqsitiîOn de Ifeii
relativement au museau,fet ' par de iégèreS) nuanêésldatî la
courbure des pièces operculaires : toutes différences aussi
peu?sensibles* pour l’observateur superficiel que celles qui
dis linguent ; quelques-uns de nos: cyprins de la tribu des!
Ùieuniers,$|de$ vandolseîîdt:desrabletteSijmais;qui, .parais*
saut constantes dans cfiaqp# espèce, n’en doivent pas moins
être notées par Je naturaliste,
f a difficulté c’est de les exprimer avec, des paroles r on
le pourrait encore avep des termes comparatifs ; mais, le
faire de manière que chaque espèce puisse être reconnue
par celui qui la verra isolée j c’est ce qui me parait presque
impossible.
' Le M ù d u r iW '
( Mugijt liz a nob,j)4 ar
Èe premier“1 de ces inugès américains, qui paraît aussi celui qui
' devient lë plus grand, a le'dibrps plus' alongé ; Ja tête cinq fois
dans la fengueùr totale ; et la hauteur ad.! milieu ;y e^t près J e six
fois. La hauteur de la.tète,près* de la nuque ne fait quelles deux
tiers de sap longueur. LaJG<^urbe.;;cië..son pr^qpejrcujie est;mpins
àrquée que, d^ns Jes autres et.deshend plus verticalement. La peau
adipeuse qui entoure son oeil egy épaisse et s’étend sur un grand
!e^ace!, Î 7 ^ ® é ’posténeur. de sôn sousforbitaire â une troncature'
obliVfue^sa’ïahgùfe*eï scm’Jjaléiis' sont êèm£üë dans notre céphale.
D - ï P.'ltf V . IjB. r •
, On compte .treut^cinq écaüies^ur, une ligne longitudinale. Dans
la lVqueûril parait^xs argenté, teint de doré, LesJi^hës Iorigitudi-
* miles ae réàet‘!sdntïprdhpnçèèsj dans le‘ sèc elles le ’sDntbeâucoup
moins/
Ce Kza où eamot a’dêsSîsËère^ très - semblables à ceux de notre
î eépihale : on ne lui voit; îjiie deu^coecums;courts. Spmî^tëinàc est
■ un peu plus gratid, et la branche charnue est alongée an lieu d’être
aplatie. L-ioteslin fait à peu près le même nombre ,dé; replis.
D’après les descriptions que^nous^pnnçnt MM. Plée et P^ey, le
.poisson hais est bleuâtre sur le dqsyt b]anchâ|re/s^^^ Rentre.
Ni l’un iq l’ajatre, l^c^observateurs ne parle de lignes. H
r, MiDelalande a rapport^ doi Brésil des Individus de ee.tte.
espèce ,dongs d’un pied ÿmais q©u^«en avons trouve de beaucoup
plus grands dans la collection de feu M. Plée : il y
en a dé près de.deux pieds et demi. Les uns viennent de
Portp-Ricoj les autres de Maraqaïlajp» d’ajitres-, enfin, de la
Martinique, Lest Espagnols nomment ce poisson liza, qui