3 6 LIVRE'. X I IK : MinÿlLQmES,
'Nôus:sou Confions que ie^tqcidfe oestreus de Rondelet,
que d^t; aüteüf comme ';6ft^êteèt»'WfiiMable au
céphâlè, si ce n’ejst que fca jfête êst plus petite-ét plus aïgiië,
et qüë ses ligués làterâîës-Wnt plus courtes,'
;54î% fpi-me,pince jpurçaît faire croire q^èffiéèt, \§<ees-
treus sphenew,. nQ^imé ainsi Euthydème, dans Àthe-
mée'Sà-caùse fôrme|.Sop,ûoiu flut^eMejaupur 5
qui se- ràppqrÉeI probablement à sa qualité de bon nageur,
rappelle aussi- celui de 7PhÊT>se ^ qui était adonné au* muges
en Sicile, selon Polémon,8
Les quatre muges dont, nous voùbns. de ^parler, ont’ la
lèvre supérieure assez mincVïl en est dautreR < | m d i s tinguent
par l’extrême épaisseur de céïtetevre-, et en général
parce que toutes les deux sont,.charnues^ et:qup les dents
en pénètrent toute l’épaisseur, comme.:, de longues fibres
soyeuses, qui en.forment presque la solidité; caractère
qui n’était que légèrement ébauché dans les espèces
précédentes,,:.
a Le M u g e a grosses lèvres.
; (Miïgil chelo, nobAfrl
Tel est le puge dont Laroche a représente la tête-sous
le hom de lisa% qu’il porte à Iviça;îè’est lit buosega^des
Vénitiens4'; c’est aussi,;à> debju’iL nous paraît*, celui que
M. Risso avait d abord Jappelé M. provencçUs^ et mugon
ctirido, ét qu’il à ensuite nomméyjdfap.r’ès nous, mugé à
grosses lèvres> ou labru6, M. le prince de Musignâno lé
1 . Alh., I. VH, P..3 0 7 . -T- 2. Àth,, 1. VJI, p. 3.0,7 .' — .3, Annales du Musée,
t. XIII, pl. 2 1 , fig. 7 . .^ . 4. Del Nardo, iProdxome, ïsis, X X , p . 'W f Première
édit., p. 346. 6 . Deuxième édft.5^ p; 3 8 9 .
É îjpjtïuÆ-'. MaoaESi:,:;:/;;. : 5 7
fait Gonpaéti’e..a«ussi cômm&Leycefaio: piètra au cefalo di
pietra des Romains , le^mbrrna dés Florentins,'et le ciautta
dés'Kabitàtos{,des-bçrdà la Li^itete.'Nbus,xroyb!rïs devoir
lui appliquer le nom’deJ! chéîdh, qur lf^rouve dans les
anciens* e t, qt#indique;p r 6b àfilem en_t l’é})|feseHr des lèvres
de d’espèce,qui le/por,taMJ. Hipésius, | dansvAthénèe»* 2, rapporte
que*ces:chélons-së, nommaient- aüssMtöecM, et pàs-
saiëiit p'oür le moins-bOir 'dés' mugés. - ‘
'" 'N'Ôü.s èn trouvons uh'ë' fplrb^nne f ig u r e spui le nom
dé ihügle, dâns%e Rpfièil de gravures espagnoles de pois-
jSbns que gipus jay^nSp déià ,citéfJ)lusïeqi;£ jjojîsé La tête y
e§t répjjé&^B^éjév à part^jyrie par 4egt>de.ux fggpsUj§p.périepre
îé| inférieure, et de grandeur-vnattirelle,;iet.( on - peut juger
par !êe--deésiu qüe sur ases-jnóte&l e%pbissbn surpassé au
moins .deux pieds ; maison lut donne «cinq ràyOïis a la
r^m ilre dorsàfp
Ce muge à gro^es lèvres a , par rapport au, céphale, les mêmes
différences qüe le tToréfy excepté que lés' appendices dé sa prémière
dorsale ne-dépassent paslj^,-quatrième rayoû.^Sb^crâne ’est -plus
É>ïl#g4ij SQU sous-orbitaire n’est pas échaneré somme • dansÿlè. sauteur*
mais coupé, obliSpement, ètnéaiimoins> il pararfeun bout du
,maxillaire au-dessous.» fd|3 la commissure; «et osnest un peu tordu
;goXipf .comme, jyj&g>5k,Son >crâne|a en avant. un^arc rentrant,
lèvre supérieure, çst plus; épaisse, plus charriée,, plus vertâeale
que.dans^tpus.les, précédées, en .sotrte que son .museau, est plus
( court» et .p^r^j çpjüme .trp'nqué. ' Elle. a; des dents, d’uije extrême
finesse*; Ses écaillés, plus larges. que longues, on,t huit-ourneuf lignes
,. jflus écartées et qui, quoique parallèles, remplissent biende triangle
de l’éventail. Il a aussi le corps, plus: haut, et plus comprimé que
I: ■, ('léyjrë'l-»
2. L. vn, p. 3o6.