léhtè, qfet’ift vit se%l®t dàiaâie^ gBaàdes pfBsfetadômrs. C’est à cela
-qü-ilîtâdtfsans^dottte'attriBuer's^ÆaretëïM: Laurillard, qui à
îbbsëfyé ldîpcÉssiru Tï'iî^nt j vofeteép6BdâHf||parléd!ê la vi vacité
de sessSoByesroen® îlifraiè au mois d’Août, et à cette époque
il se rapproche du rivage. Celui que nouéUvons'désigué j a été
pris au mois »de Févrierjg c’est ce qui explique pourquoi
»©us u’avons pu rien’^ î r dans les organes'de la génération;
Suivant les observations de' ricbthyologiste de -Nice que
nous Venons dé citer, ta chair de ce2 poisson, quoique
blanche et tendre, est vénéneuse ; il l’aeprouvé sur luira
êihe, et plusieurs fois iraTes§énti, après en avoir mange,‘
dès douleurs 'aiguës dans les^entrailles, principalement vers
la régi d*r ép igas t ri que et autour dé l’ombilic 5 le ventre s’est
métfébrïsei, üné chaleur pénible a échauffé la gorgeet l’cesô-
phage ] èe| '^c’cideBs furent accompagnés de nausées fréquentes
,’ëtiivïëâ de Vomisseméns d’une humeur glaireuse et
nauséabonde&dfes ténesnyss et de la lassitude dans lès iBém-
bres pendant déuxjours, terminèrent ces difféïéhs symptôme^.
M. Ris^oeât t ri b ue^bès effets pernicieux à la nourriture
dfe ®é poisson," et qu’il gfdit consisterpn méduses, particulièrement
de “celles dont PérOn a fait le genre Stéphanomie
eé qui ont une âcreté et une causticité extrêmes.
J’ai en effet trouvé son estomac rempli de débris de
ces sortes d’acalaphesY'mais fè ne puis assigner au juste
à quel genre je dois.rapporter ces débris^ Cet animal peut
mettre là .veloutée' de son tube digestif en contact avec
dès corps vryans d’une causticité bien reconnue, sans en.
souffrir. Çe§ êtres, digérés et assimilés par la nutrition^
donnent à la chair du tétragbnure les propriétés nuisibles
qui lui spnt propres. C’ësf là un des^phénoïhènes les plus
curieux de l’organisation.
H.