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. Des C e s s e s , ' dès Dàjàûs ' et ides 'ffîèïsüsï''
, ptaçojis!'a la! Imte des muges, des poissonsqui m
ti^nnàatMîpa®,: l^E®feàblfe<|ej ’leur îpMysieliomie^ gépérale ;
mais qui. e» diffièrfint génériquement pari les. ■ caractères'-
que ; nous, a^Qns; ;déja' éiiçncés au^éommènoemmt de ?Cë
livre.
Les oestres} dont nous parlons d’abord ,.;on&une grande
ressejnblâncëï.avec lesmuges;maislaïfente;dié<leurborÎGhe
les fait aisémeftjfiSfêQbBnaxtre« l^ous leur,voyîons' jâ)eÉldents f
mêm^-sur une bande eirobieÿ à la mâcboîrë'supérîëure
seulepiept;;; l’iufeieïpQien f sfe t.oujQlu®é;>p8iieébLa preiitièrè
dorpale n’a g le < ,dernier.iria|fQn; ; est
alonge-et r^pprc^^i(fes.;ptf|fi^^m3^er.qui cbjaageila forme
de cëtte nageoire, comparée /à' celle. des pefesons duigenrê
dont nous distrayons; ceux-ci.
Nous n émconnaissons^aue deux espèces » crnijyiennent
ç$|tg$ ;(|^0|^pptfs.qp.enâa.nt:la expédition .scientb-,
fique que le Gouvernement avait mise s.ous les dfdFe^dè1
M. ïe capitaine aUrville. Nous n’en avons .tppuYé,aucun
indicé dans .lés'ouvrages que nous avons pu consulter.
Le G e st r e a l èv r e s . p l is Sé e s .
!v ,,( Cestroeus p-Ucatïlis, nob.)
La premièflpu.
T l f-itr 0rP^ un peu plus ^Q®,pbmé latéçaleroeut que celui de-nos
muges^i’diuaires : le -Æds estvc&pendant encore fort arrondi. La
hauteur, qui est du double de'W^aisseur, est contenue qu&tre fois
et un peu plus dans la longueur totale.
;;L a tête estiuGOUrtê / à' Vert’ex'^troit‘Uiâisitrës-bonabé', à nauseau
pointu*. et» àf b'ôqobe fendue-loÉfgittdinalérneM et* non eti- travers
comme Gèll&de-®éstîrnugesdLâtioiïgueur!est' c0nipri&e cmqJ fois et
qu elq ue^clâo s e>d ans iô’ell'ejdü?e b rps. L ’orbite es*t beaticoup'àuAdëssOus
de* la làgWdîïJprOfil^efine l’entame nullement' Son diamètre* fait
Un* pèuiplust’dti* qtiàrfc'de là*Jso®gUëur de la:'tfete; il-estr éloigne' du
ïfeut. du> mbseaU d-’uné1 fois-ét deiili'#fee 'diamètre/ L ’oeil1 lï’fest d’ail—
leutfS're'ëotibert paf' aucune meiUbranie'adipeuse/ Le ’âôus2orbitaire
i^aeaetoèl qu&'la partie antêrieWfelduîmaxillaire ; il eSt|ëti*Okyÿétit,
goÉdèsen:* Éi^ièlé^Ç®ûvèrtftdfe quelques écailles, et son bôÿd’fest
lOut*à^Mplissir*ef sans dentelu{es'; On ne lui* voit ni éârènë près
dia ifeofdq 4*bitâïre, ni 5êéfa^#Wf#' s#r ‘ leJ s bord âfltéfcfeâ^ ’ *
u Lesî .troisSpièeeS- de^tifopercule’ sont cacnées* sous] les grandes
écaiMest qui les bæGOuyrfent/- On vn’âperç'oii du pp'étiper'cule que le
bord bdrizontkbet tin peu* c^sOn&angle- fort'Obtus, qui se porte
beaucoup 'au-d'elàj~d'eti’oeil.' il n’y >a aucune pointe- à l’operculé ; - so n
bordkmémbr|méux «st*trèstétt^ÎÆ; danS'WdireGtion-’deti’oeâl^ibfait
.Un:‘arâ;îfce®*ra®*i^ubdevient/îaUueonfrairè?S^®V‘eSe«5sOUs«dàpeci
..; ïLa1 membrane, brànteMbstëge , pe\f -langé pa* six rayOnk'D’ailleyrs
>IIs| |É l| est SfcéttmtyqUe; les''d;euxiinter©p^Ecu.les'- s’ë'ttoueliënt presque
séfîs l^'-gprge. La lèvre supérieure est',fort épaisse, eb'feit à
Ifettrélûitll/âu museiu'luïfe* masseb:©hârnue4 rfeméertè :de pJpilles
jeseesSivéitient^fiiiês'- et.nôinbreuses, qui donnent à. ceiorgqne ;àne
^pâTerf&:i#etaffl;éej -elle recouvre un .infermaxiltebealOiagp-grêle
b&n-arrièréy' assexdargO* damk /sah partie.* moyenne jIMoti s’élèvé la
ifeaMtiei ' %llé tsbfe^Mfbrte * c^>qsbreîlib la
..bou©hp protraçtileî'mais! elle,ne fait que/l’^sissfe^tiaUsyla pro-trac-
tiou, parce' que le maxillaire a lui^même peu de liberté. 'La partie
iiaiîtjêriêürfe <de|;eet!OS'lgi^fèet droit soirètire;|iiq|a^id la ■ boefcbe est
sferméOpiSOUSiile bértitiinféiâôur .du .stius^orbkairejffeÿæie de i?qs le
^épaBse»nsuitev'\du%èïà|»ostMeui#de prèsifemol|iâ ,^0’Sa^l@n-
qgueur, Lesbord1 de la- iMph©irM^fe .Icaig.isi’une lèvre épai^sèï’ûïne
j rangée de;iines: demis:. > y
i iùLb tvéile nmeùabranèux du --palais test.^feftyfestgéb ,^s|« libroy et