H A C H A T S * I . U 9 5
sur les; flançsÿ fortnéfes par Jes reflets jamais il lui
donne les nombres suivons':
B. 5; D. 4_9.} A. 9 (sans distinguer les épineux xles ,mous) ; C. 17 ; P. 1(5 ; V. 5.
Malgré^oes différences;, nous* ne, pouvons douter de
lidentiité de l’èlpéeé.
ËrinÜ|fldS de Forster était long dé. dix-neuf pouces "ét avait '‘été
pris dans l’oqéan dâéifiqûe ’ ; le ndtrë îi% que dix poticê§.* «
‘ jLe Mu4® ■ A •TÀcHé'BL51[JE./, ;,i
; I ^iïîuffitct&ruteùwticûlèttïiSjïiSLcép.').. ~
. M* ÇuyÊejrm’a» pas cm quegM. dp L«eépifcio i
turéfaussi piste que Schneider1: trouvant dans CommeîjSon
une description âssez vague du voyageur^ et uné figuré qui
né’iaifeé an c#MràirêJ rièk à désirer, d’uU mugewdé la nier
dès IndW, dont la j&ctodfte'k aussi' une t^ôheniçîré^ou
bleu foncé! a. sa base, M. dé Lacépede a établi sur la dés-
criptinri,:son muge tache^-bleuèa, et en même temps il1 a
papppiijtéau r&ugilcrenilabis\a. figurer ,.pl. i 3 ,dG>nt;l’odgi^
liai,est évidemment du même poisson, mais "a laquelle son
grâVëur a supprime la tache.
Çètte figure ne marque aucune crénelure aux lèvres,
éVCominèfêtm, dans sa description, n’èn fait aueune mention
: il tro u v ^m ^ e unç -résscmblance exaçté, pour cette
partie", entre son poisson et la description-,d’Àrtedi, qui
0 t . du %hre dP donne d’ailleuii^
ià ièvtfcssrien qui approche de l’épaisseur qu’elles
ont dans lé crenilabis. La j ustesse des doutes de M. Cuvier
vient d’être ^ptifirmêè par l’examen que nous avons pu
1. Bloch > Schneider*, p. îâi. — 2. Lacëp.f t. V? i.Vpàd;,^f383 et S89I