et comme ils vivent sur tes~ plagiérocheuses B qu’ils se
retirent sous le s -p ie r r e s l’heure de Ja .basse mer, <pue
d’ailleurs ijs, sont trèi-vifs, ^n ue.le§ prend, que difficilement;
ils'ne souple but d’aucun ^epçe «^’exploitation de
pêche, qupique leur chair loir'généralement blanche et
de bon goût,*. j<
Mais ees petits êtres offrent aux naturalistes un sujet
féconddè méditations et.de jteèheÉchps l^ti<»ri^w^i0ne
particularité commune à untgrand; nombre- d’entre :eux,<
celle d'être?vivipares, a, toujours;excitera.* curiosité des phy-
siologistes, parce qu’on ne connaît pàs encorOjcbmment la
fécondation a lieu chez, ces ànimàidi Le&haturaliste%idîsfehit
que la femelle elt féqpndéel^nÉérièüf par siiited’un atcdu-
plement.; Jff. Cuvier lui-même le répète, mais .avec circo ns-
pection.; 1
Quand on a bien examiné les organesiextérleurs dsesl
deux sexe^f il est bienidifficil^de concevoir comment rapt©
de, : copulation pourrait s’exécuter. On obsërv.e Æénérale,-
ment que les mâles de ces blennies ou de cé^gobies ont
quelques dispositions particulières aüprèsjjd^ piffiç#® d ^
organes de la génération; mais on:ies ivoit exister dans.;les
espèces qui ne sont pas vivipares., et: souvent; même plus
compliquées, que sur celles qui font leurscpètits vivâns. ;
On a considéré, eés parties comme arhdogues aux appendices
mâles : des ! raies e t * des ; squales p k tlqui servent -au
rapprochement des sexes pour laffécondation de la: femelle;:
à l’intérieur. Mais:ces prganes , existent, qé ierrépète^ dans
les,;espèces, non vivipares .aussi.bien; que dans celles qui le
sont,, et ne. sè trouvent lep lu s; généralement formés que
de houppes, de^petites papilles ou de: .trèsHplisSéel;
disposées auprès de l’orifice par où sort la laitance , et de
eelui quiièeffe à^lé^èétpiii dé Furine.-Souvent l’organe est
un simple.tubercule: ou,. pour|êt}isêiplus efaetq une longue
papille j; pla;c^èra^cêtébde l’issuê du^êhnai- communiquâsnt
ave c. le ; testicule fEm supposant que ^ Cesn org-auespuisse ut
prendre^par iespasmeaveneridny umétât d/érection capable
dé produire pnaccouplement, il est-difficile d^voir^com-
meiit la: disposition désorganès: devla fémellepietit se prêter
àjohtsacfce» L’ôtivefture/èxtfeneùrerdg. Fovarrè; n’a jamais
d’appëndiceS ou .de-houppes. Elle est si-petite qu’cm ne la
voit, qu’aprèslde’minutieuses re:©her<infes递est un simple
p^erouvert 'dérd^re f’ànus^ e t en avant d’un trou souvent
plus- petit' encdre, destiné à laavessie .urinaire.- -
Ln mâle a cet orifice entouré, de papilles tout-r^r- fe.it
seinblablpsf4 < celles qui existent: à^fouverture de la lai-
taifceq majs jeèin’ai jamais: vunoès? papilles remarquables
autour de. l’anus. Il faut ofkçsèrver; enoutreque la condition
de faire^des Hpetits ivivansy uexigepâs’f cette : disposition
d ’avoir'Urjtubercule ou un©sortè;dbrgaUe d?accouplement.
Ees.-poeciliès, dans la famille dés-.cyprins'; certains' silures,
s©%t-vivipares,:et les mâles1.nont rien quihéSsemble 1" ce
prétendu orgâne d’accouplement des go-bioide^lô ?
Je crois?donc- devoir mettre -sur la. voie» de faire des
expériences, sur ce sujet ; car, quoique totals les auteurs
l’aient.répétéjije. pense tjuè rienin’fest moins probable que
cet- accouplement, etys’àbexiste, rieûdeplnèdifficihy k
expliquer d'apièssla'disposition des parties externes, n
,tx.Mais: comment alors s’opérera fécondation de: IftVaire
de la fpmelié'S $ ©nOpoùrraiticrOire qu’il y a u n # sorte de
juxta-position desdeùx cloaques , étique les papiHes servent
àoérapprochement;mais il néstpas eucoBè facile dese faire
une idéeade la manière don t cette vjuxt4qpfâsjtiorfs’effeêtue.