LIVRE 9 4 XIII. MUGILOÏDES.
Le M û g e cirrhostqme, ‘
a ^ M u g il cirrhostàmus, Forster.}' :ir
Schneider i caiEpaf e à . ®ei mügil crenilabis le mjLtgil
eirrhoptomus^de Eoistfe;iGt^§t,, «a effet, imp espace très-*
voisine, mais bien distincte, que notis pouvons facilement
caractériser, auj oüïd’hui. que nous;' çn ,.|ypa® |QT$ |e | ^eux
un fort bel individu, vapp orté :$ê la Nouvelle-Irlande par
Ips naturalistes de l’expédition de M. d’XJrville.
Il est en tout semblable au dessin que nous en avons
trouvé dans la bibliothèque dé Banks. ■
C’est un muge sans, dents, à lèvres charnues, épaissëâ et dont les
papilles sont disposées sur le bord ,de b lèvre supérieure entq^in-
* conce sur neuf qu dix rangées, et à j ’inférieure sur deux petits nlis
éjeyés de la peau, .çpn,forment ,^^.j^sn.fç£^.singw%!i4 ,cmfùe
papille est portée sut un. pédicule Bien distinct, un peu- renflé à
üon insertion. La-hauteur du corps est çoutenuè quatre' foi£ et trois
quarts_dans la longueur totale ; niais- il est de tous les .muges celui
qui a la tête lai plus courte et la plus ronde, ,car,sadoneueur est
près de six fois dans celle du corps. Le souS-drbitaire est sans échancrure,
et coupé carréméntj u Ô’à'presque pàs~ de^dentelures.. L’eeil
est encore plus près du bout du museau; les lobes de sa queue sont
très-pointus;' la*pectorale est aussi longue que la tête et taillée en
faux; son éeaille axillaire est large, et du tiers de la nageoire; les
appendices de la première, dorsale sont plus longs qu’elle,.la seconde
nageoire dn dos, et l’anale sont c^yertes d’écailles très-serréfeÿêllès
, soniJ taillées en faux.
B. 6; D. 4— l/§; A. 3/lofc. 17 j*P. 16; % 1/5. ' >r,
Les écailles du corps sont fortes ,Au pombre de trente ou trente-cinq
entre l’ouïé et la câudalejle bord de chacune est finement cilié.
Forcer lui attribue une couleur plombée sur le dos , une tache
Iioire sur la ‘hase des pectorales, et$une autre sur la nuque, des