.; Pailgs se demande si^ç~n,e,sèrait point Je cepola rubes-*
cens} mais les çépqles ont une eatidale;sépar.ée'de la dorsale
et~de l’anale j des ventrales complètes. 7:
Le Gqnkel^ e rubaij-.
(Gunnellus loenia, nob.;^ Blennius taenia, Pallas,. Zoogr. ro&s:f i
p. 1 jë .)
Cêtte jjspèce vjenfc aussi'aëk Kouriles, d’où Pailas l’a « u e
souS ce
,1 1 j Sojj^prps > saMêk; jPpmprimjêe,
à, ©perçûtes, pl^ts et triangulaires. Ses dents<spnt un pgm obtuses, et
sépaiM ^ Les' rayons de sa dorsale sont épineux : etteVétend jusqu’à
la caudale ; l’anale en fait autam / et néanmoins la caudale Junsiste
encore distincte. L’anale dt>mmerice au milieu; "sèsqjë&tondcs^sbnt
petites, et ses épines, tenant lieu de vëntràlesr,-âignëS^et?ÿfeë®TiTb^s.
J 1 .
Ses écaillés*‘fort petités'^sont notées dùisdejiidefniié.
L e G0NJ?^E)LE TRÈS-RpUQE.,
(Gunnellus- ruberrimûs, nob.)
Pàllas donne encore {Zoogr. rosi. > p. 178) les notices
d’un blennoïde qui lui fu t e M ^ ^ a v e c les d © ^ pr4 ç 4 ^bmi:,
et dont les aiguillons, tenant lieu de ventrales, sortaient à pei|ne de
la peau* La caudale, quoique la dorsale, et l’analeif’yicjoignissent,
était néanmoins distincte et arrondie. Il y avait quatre-vingt-quinze
rayons a la dorsale. Ce poisson, un peu plus,petit que le taenia,
ét|.it tout entier d’unTrougé vif.
il paraît, d’après M. Tilesius *, que Steller a laissé dans.
1 . Mémoires^dé l ’acad. de Pétersbouig, ti t u , p. |^d.
ses manuscrits, la description d’un blennie; rouge ||portant
d ^ ‘4§$tt§&çau. lieu de ventrales, qui devait
gonnclîç. pu le goGnelle rosé* !
Le G oA e l l e rubanné/' ry
\Gunmllus f( ^ c ia t^ i^ îS l^ ^ ^ 3Èàa^LikmàtuS, BL Sbhn.,
, p. iTO, et pl. 3 7 , fig. 1 .)'
La seule espèce'connue de oè genre, qui appartienne aux
mers des pays cnauds’, si toutefois Blocbm’a pâsMte induit en
erreur j fut, selp p ^f icùthydpg^p^eM®^^(|e T]r^q,qpbar
e^sestjrepjéserctép danssbpSys^èm^ posdiume, fig. 1 -
: ; 'Sësfhi^èfe générales, à éii jhgerpar læfigürë, paraissentsèrnblables
à celle??de l’espèce jvulgjûre-;- cependant la tête est beaucoup plus
•igraxidg’; éar'elle n’est contenue que cinqfëis'-et un tiers dans la lon-
- gueur totale. La pectorale, pointue»et comppisé huit fdis et deux
• tiers dans la distance'- dur bout-du museau à l’extrémité de la' queue,
'est plus* grande que dans aucun autije:gôiifrè]fejLa dorsale est moitié
de la hauteur du corps sous ellef-Sà taille est- aùssi'bien1 supérieure,
elle atteint un pied et demi.., ?
B. 5: D. 84; A. 2/46; C. 18 ; P. 12 ^ V. 1.
„ ♦ S’es écailles, dit Bloch^ont de la rudesse, sont tr^s-petites, et il
n’a qu’une rangée de petites dents. Tout son corps p$t traversé yer-
ticaleuient de bandes' irr.égulières-slternatiYement jaup^tres; celle qui
s passe par l’oeil est noire; un^sjepppde, pousse, plus*forcée.que le
fond,.despend sur.le préopercule.
Je 'suis porté à croire qno Bloch „a fait ici' une confusion
sé'mBîiMè^ténië/^'ë^âi^pëmrlêfcd^iw'mônp/ifer^ïW.
g»le professeur Ilcinhardt- jde Copenhague a en effet reconnu
que çè poissçn ne vient pas de Xranquebar, mais des mers
du Nord.'
Ce saÿant a eu k .bienveiilance dé nous envoyer une