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llfR È -X IV . GOBIOIDES»
Le S a la r ia s p in t a d e .
( S a la ria s m elea gris, nobv) -
t Un des plus beaux a été rapporté'par' la' Tejye
de Yan-Diemen.
Sa hauteur est six fgis; pu six fois et demie dans sa longueur,
celle de sa tête cinq ;fps et demie!; son.épaisseur est dés deux
tiers de sa tu te u r * son profil est, presque vertical, et hr hauteur
* de Poej l au museau, égale la ligne horizontale' du crâné : il n’a- point
de canines. La lèVre supérieure est bien crénelée; lanuanne a un
très-petit tentacüle paBné; sur l’oêit en est-un dé moitié de la
Étt teUF de la tête-, à tige un peu grosse, pennée tout du long è.tMlS
™ - deux? côtés par de petits filatnens>. Uneprête vertiëalétembràneu^,«
demi-ovale. un peu inclinée en arrière, du ^iar%dé|la hauteur;d&
la tête elf leufers de sa longueùi^edJÎOE^eiice immédiât^uèrit derrière
les yeux et règbe jusqu’à' la; nuque.
ftpE.Tiâ dorsale com^pice apée^un court intervaBe; ejjçéstdi^lêe
prescple jusqu’au dos; après son douzièlnè rayon, sa première partie
a moitié de la hauteur dû corpSi La seconde est un peu plus élevée
et àtteii^lfe: basè^ne b caudafe: Pâûaïe laisse un intervallè. Sfes pèç-
* torales ont un peU moins dU®ttqufent% et les yggptraleste huitième
de la longueur totâlé du corps,'.
- P. 14; y. 2.
i Dans là liqueur Ce poissoà paraît d’un gris tirant au- lilas." D;es
bandes mal terminéesfi: d’une teinte plus brune, rapprochées par
paires, descendent du dos jusqu’aux denxtrers de la hauteur; des
points argentés ronds sont se te s sur tout le corps, -au-delà de la
p e c^ id e ; ïanalipfdûût le fond est noirâtre, surtout vers le Jîjpfdû
en a de semblables, mais ils sont plus petits,et plus serrés. La dorsale
a sur# un fond violâtre des lignes longitudinales pâles, au nombre
de quatre sur la, première partie, de six Sur la seconde.
L ’intestin, comme êelûi tî§.jx>us 'cia salarias, est long et rôulé
en d&uble spirale sur*iui- ii$?me, comme le canal-intestinal du
têtard d^renouiUesi II est du plus long que le corps et
CHAP. HJ. SALARIAS. 247
d'un diamètre [petit et à peu près sgakLe féiè est tris-peu volumineux;
les 'îqeufs rempliraient le^sac^k>o^ai'rl| ,et ne?rùtetraient
pas que ®es ;eîsp^èf;^me^ h vi)'’îyiyâphres.. .
Le squelettedece^al&rias rèssémb|e^eaucoup à ceux des blennies;
la longueur pf?0]mrtmnnelle*(fu crâne et la crête sagittale le font
sur|duO^ssemblèr a celui du^Æ^ph^o; ^1 a onzqj'Verlèbres abdo.r
minales el‘ vlp’ghsix ou^iûgtsêpt caudales.
Le Salarias a K i f .
' {S a la ria s Æ n g ii, nob.)S^
VHS lé tioinmodore Philippe .Ring,-autour de la r | c o ^
naissance efe k cote de la ]N ouvelle-Hollande,a bien voulu
nous adrçssgr «ne ésj^ce^e salarias qui ne lui est parvenue
qu’après 1 impression de* son li^re, et qui lui paraît ayec U
ralg^n no-uvelle ppur les-natùrafistes.
' Ses caractères la rapprochent de la précédente (Sal. m êleagns),
mais ellç est Lien plûs’llorigéé4, ses tentacules sont autrement faits
'-et sa crête est plus longue.
' Sa hauteur’ est'sept foxfr et demiPdàïïSsa longueur; sa t||e y ,? à
six fois; sa ^crm? a, les deux tiers'dé ia Longueur dè'la^lête et le
tiirs de sa hauteur ; les tentaciüéâ dés'deux soùrcüs n’ont que moi-
,J palmètte à sept oui huit brins,
dont t e , Un peu plus' long, sert de tiga; eeux.desnarines sont
petits et a cinq brins. Les dents sont plus courtes que dans beaucoup
d ’autres espèces,, quo^te* aussi nombreuses. Je ne vois pas
dp canines. La dorsale a les deux tiers de la hauteur_ dufcorps;
éllê ^lt tVès-fendûe a^ès les raÿon's épineux et s’unit un peu à la
base dé-la caudale. L’énale• c€Mnmenc«:' ' p e u # » » -avan^-qû»' la
fissure de la dorade, et laisse un espace libre avant la caudale, qui
est arrondie. Les ventfalél ont'moins du douzième de la longueur
totale; les pectorales en ont le sixième. •
D.%23| A. 2% C. 1 1 ; P, 14 ; Y. 2,