inais elle a le corps moins dpngé à'propdrtiQnvla;frète plus lâpgé et
plus courte ,1 ’ceil plus près de la7 ligue' du profil ; le.-s©hsVoïMtaire,
coupé : obliquement et presque ; pasi écâiancré, eàrùonte : jusqu’au-
devant du naSal et touche'presque 'aixelurdu côté opposé,? ce qui
donne au; museau uneitôut autreï-fdFmeiLe; maxjlaire’nélpaÉàit que
très/peu; la hauteur et la longueur dè sa .tête sont cbacumeveinqfois
dans sàdongueur totale.« Sa» lèvre supérieure est iriince;>ètdses dents
très-courtes et excessivement fines. On compte vingt^cinq■ ôu vingt-
six éçaülessur une ligné longitudinale^ e t neuf ou dix sur une
tr^nsÿersaje. Sa dorsale:ppstérieBr|e et jpn^nalo r
mais sa caudale n’est presque, pas échancrée. te s deux premières
sont®couver tes d’écajles très-serrées.
' D;4 — 1/8; A. 3/9; C. 14; P.'iY; V. 1/5.
il' paraît tout ’entier d’un jaunâtre métafiiqùe dfi làitbn. Les
écâiiéë'âont plus%rones aux bords. Ses'nageoire^/sorit' grisés, ët
les pectorales plus foncées que les autres,} tin ' même1 n dires flans
une grande partie de leur surfece. Chacune^ de ses .écailles a/une
li gn e‘ étroite sur s o n axe. «
Il y a un enfoncement très^grand au-devant du,yomer;les^âpi-etés
palatines sont < fines et disposées sur deux plâqTMS^trpi^esJtj^s.-
écartées l’unp cfe l’autFe. La langue fêjjg légèrement ^ é e (en tqit,fe.t
ses deùx bords latéraux sont échancrés vers le b o u t|a neuprès
t comme dans le muge dorepÛ y a des âpretés surdon, pourtour ét
m lüfFârrièfe de l’arêté du'milieu.
-! Ce muge a l’èStdiiiâc ^ônîqtiey1 âlbnf^éy à par Ois'7 mifice^ 'etJÎtjrans-
>p3Ébëntês-da^brâncbe montanté'éSt épaisse et-'présque^cÿbndriquèj
le pylore(est;eiïtouré/de dix appendiceSj'ccecàles:courtes', dont quel-
J.u 'i.v.- g ï$s3 . :■ |
Le canal intestinal est large, et ne feit que quatre à cinq replis
avant d’arrivér à l’anus,
La vessie natatoire a ses parois très-minces, et donne deux
petites cornes de sapaxtie antérieure.'
. iü«a de nos individus, long de neubpquces, paraît entièrement
d’un jauoe< verdâtre un peu bronze ; il a ete recueilli
près dea'des de'Waîgiou,e$.dë .Rawack, p'âr MM. Quoy et
Gaim'ard, qui Tont décrite dans la relation dix voÿage de
M. Freycinet, sôïis' le nom de muge^CIiristian- mais l’équi-
vôqüe qu’il prdaüi-t'/end&tin,' nous empeche- de'lé -ben-
server.
MM. JLeSsomtet Gam.ët ?l’ont aussi- trouvé- près * dentale
de Borabdrà^lufte de:ceîles;de la -Sêbiéfé^èt MM.-Quoy
rapporté'peMant léûnsfecërid vôÿage des
îles de yaüikorp’.
M. EhrqnBerg l’a pris aussi dans- la mer Bougé, où
il l’a décrit-â’àpres/lé'frais.“ '
Ses pectorales ÿ étaient toutes nqires, dorsales.' noirâtres, et
*il ^wSf'pu"noirHfïTpointe'd'é son. anale, ôequi avait déterminé
ce vôyaae'ur à le nommer melanopterüs. !
Un échantillon qu’il'à bien "vbulil hofis donner'est longue
• onze 'piuqes/ r
Il ne* pàraît pas que cette espèce ait été; connue de
ForsSâ4fr'a
. M, Ruppeld’a ’également,observé^fet en ,à'r4 ^ nné une
irè^jbonné figure (;pl. le jtlOm que, nous;lui
(^nseryops.îlÇett^->espègç!jestf ég^mgntîabondante à hqcôte
malabare, §qt M. Pussumier oo^s çp«àj rapporté^b;eauç(oup
d’individus. Il ajbute „encore quelques notidn^aux couleurs
prises,sur le. frais ::S.elo,n lüiyjle.dos; est verdâtre sous un
réseau noirâtre formé par les,bords vert foncé de chaque
écaille. Les nageoires doïsafe et anale, sont verdâtres et les
pectorales noirâtres; les .flancs argentés portent trois*ou
quatre rayures longitudinales et noirâtres.