trouvons le corps plus comprimé et plus haut; mais cela
peut dépendre du ramollissement que ces individus auraient
subi dans la liqueur.,
L e MupE.CILIIL'ABRlj.
{M ugit c iliila b is , nob.)
Il existe à Callao de Lima un petit muge fort voisin
de celui qui précède. 1
Il a les dents plus petites et plus fines, moins fëcourbéès vers
le bas, mais,saillantes et.formant tme rangée oC jcüsjautrement
disposés que dans les autres muges. Celui-ci a.d’ailleurs le dos
plus droit, le corps plus arrondi,' la tête plus courte « les écailles
plus petites que lé 'M. curvidens.
D. 4 — 1/8; A. 3/9.,
Les - nombreux individus que nous avons examiiiës,
viennent des poilèctions- faites par M. Gaudichaud./
On pourrait presque, séparer dos autres muges ces
deux petites"espèces de poissons. On prendrait, au premier
aspect, ceux de la dernière pour de très-jeunes scorribres.
Ainsi nous avons déjà cinquante espèces dans un genre où
Linnæus eftcofè n’en comptait que deux ét les distinguait
mal,, et dont M. Cuvier navâit connu que trente - trois
ou trente-quatre. Cette énumération, faite généralement,
comme nous favous dit, sur l’examen d’un ou plusieurs
individus de chaque espèce ;, s’est accrue à ce point contre
notre attepte, malgré Attention extrême que je mets dans
toutes ces recherches’ à; ne point les multiplièr. d’après de
légers accidens individuels, et en suivant* autant que me
le p e rme ttent mes faibles talens, 1 es précep tes d e m on illustre
m eu tr e? ^Mais ^af^fOrt ë"d Cné ê " nCffi ëcjp ^aïf^às^pè rmettre
dep supprimer urÆTsë\dfcef%iëhtplu.l^,|?éÏÏ'iri,<ÿuve
encore dans les auteui# que je ne puis rapporter’jr celles
que j’ai observée^ sur 'WnaliW.
Forskal a encbfeCfrois'àuries'mpg'és) qu’il rànge?’èromme
des. variétés sous son Af. çr;enilabis^ ep dip|ÿènt
P^r, cjjsa,traits qui ,me parai§septm^ spjécifiqpes.
Le |
| ■1 ; -’( rskA* | 1
^fusÇfèêfâ .tlof^les pius t nîoffrent
ni craielures pimfe'Snar cils. 4 entend sans doute, les ficnts) -I,a
w C w è p d a ® ^ r e v i * e ï n f è r o t f é ' è s t s i l l o n j S l i g n e s de
ses flancs sontr-tVês-péd m’arquées; seSpécldtâl%s"s©^àril^lfës|t#é.fe
.. la base endedans estnoirâtre; ses veq traies, soqt,blapchâtres;. les
, , autres.jaaggq^FgSjjS^çf glauques., :
aéiÇM4; P. 16.
Il nWt long que de six! pouces; Le noir de l’aisselle Semblé le
; jpapprùtÿ^E xde ;jxptve mugit j^çronii,, ,
-, : ; ' 31iè^'^rirsébesklfe> :xibmi2rei2fe».9Ct&e/jf .daim'donne
le nom particulier de hari. Il fraie;ien:hiver;;auiicQucher
des pléiadésib >
M. Ehrenberg a cru retrouver le scheli dans un mmgeode
la mer Rouge q u i, d’après son dessâh, nie paraît aussi assez
voisin de notre mugit Peronii,
et qui a une bàhde .noire sur la base dé/sà- dorsale. Sa machoire
*$; inferieure èst^à peiné darèhéei -Le lobe>siipérieur de sa queue est un
- .peu plus long-que l’inférieureSan sous^orbitaire iest tronqué;et
1 . Forskal, l. c.} p. j$ } n.° 109 b.
H . ü