4 0 LIVRE XÏÎI. MüGILOÏDES. i
Selon M. Risso,:cette espèce*dü chéïôn parvient à un
poids de huit et îôü bëèü;ç6up au printemps
e t e^éte' dans le Yar.
I^ons en, trouvons aussi une £>onnè figure dans l’Iconographie
.de la Faune italienne, fee muge,
dans la^^iterranê%, est effectivement moins estiméque
le céphale , qu’il égale à ;peü près', en . grandeur.
Z>e! Muge* LABÉoif.
-Mugfc s ^ p i^ r > É .i^ 0 ,‘ à 4 d ):^ î
Le deuxième'diüge^à ’gros'sèâ lèvres, qtie'hôùs;app!élle-
rons, labéonx du mot que Gaza emploie p'odr traduïre c^lui
de %sà«V, nous paraît^trêTe/.^OKmi^'^e’ ^ t ^ o l Gest
sous ce nom que* l’auteur de rïconographie 'de la, haulae
^ddtal'è’Tarifait représenter?; 31" ne InioeonnàTfcp as^diaiifres
nômîl vulgaires : isuri desncôtès; dïtaiie* bùril estotÿb-rare,
se tenant dë préfgrence sur les fonds d#4àMe§'; s^ehair
^ t pê^mimé^ Il est ièfpfeçfecifaà distinguerdQ.t@iù§^ par
salèvre supérieure, qu’il a "
que Çelfë cfès pflffii6ft#éspèéëàVèii soffiè’ que dàrià'Jtfëtat
elle fair Frès'qiaèvl’feïFet d& cèffedés' 'séâ&fc JLe Abôîds>éri sdnçun peu
• ' frangés'Ua, crénelés {par ;des stries très-fines' qui/s’y d'mpribpjjt*; ©u
plutôt ;pa? des papilles très-menues de la peau; mais je, ,^,p|uis;sj
découvrir aucunes dente, non plus qu’à la lèy^e ^upçrienre, Cette
rend }le museau obtusL et encore plus tronqué Qu’au
muge chélon. Le sous-orbitaire est fortément-’ëâmçreV'maaapour
•recevoir la 'commlprare dés lèvres ethon pphr'ler rftd xihairc?• 'èèlAïésft
pluslong et que son extrémité descend plus bas que dans
* l’éëpèeéprécédientejSâ tdfsion et sa courbure soétencoreplèsfortes
que dans le chélon. Le vomer n’a point d’enfon^eiagat, La J^gn ^ est