truncatus et qui .est dèvemié* lè blennius edentulus du
Système posthume-, ; p; >172, 19. Sa description et la
figure, conservées à la bibliothèque de Banks, sÿâccordent
également. Si Forster la croyait sans dents , c’est qu’il n’accordait
pas-cô nom à ces petites franges serrées et mobiles,
qui eh sont pourtant véritablement. Il a fait la même erreur
pour son blennius tridactylus, qui est notre salarias alti-
çus : et Çommerson l’a faite comme lui.
Forster avait pris teïfpôissoh à Iiuaheine, l’une des îles
de la Société; peut-être est-ce de lui que venaient les
échantillons conservés par ]Blqch,
L e S alarias à double série, jg
(S a la ria s biseriatus j n é n . ) !* !
Parmi les poisons recueillis par Péron dans l’archipel des
Indes, s’est'trouyé un petit,,salarias
g|Âs canines j a dorsaleqmofondéïnertt divisée et distincte de laicaudale,
et qtii 'a sur l ’oeil un petittentaculfe foùrehu', presque ifliper-
ceptible. La hauteur de son eorps et la longueur der.sa tète sont «ix
fois dans sa longueur totale.
■ ». A. 21.
U a sur uii fond blanchâtre' huit ou neuf bandes verticales if un
brun fauve, dont les cinq ou six antérieure^ se bifurquent v&s le
' bas, et sur chacune de ces bandes sont deux points argentés'ou
' bleuâtres, placés'l’un au-dessus de l’autre et de x»api'èr.e X foqher
deux séries. Il y a quelques taches brunes sur la dorsale a&térifeüre ;
la caudale est jaunâtr'érles-autres riageoires sontphjs oumoins bf jhes.
L’individu de Péron n’a que dix-huit ou vingt lignes;
hiaî& jiBitïOttVe parmi lès dessins de l’expédition russe uné
figure longue de trois pouces, qui me parait représenter
très-exactement ce salarias.
, L e Salarias variolé;
{[Sàlatiets fùccriobysus3 nob.)
\ C’est, une petite e.ïpèog; rapportée< de l’ile Guam par
MM. Qudy et Gaimard^y
à eprps couÀ (tsa hauteur h’est paS^qUâ'ife ,fèré? et débité dans sa
'longueur),, à ^profil vertical, qui se‘distingue- éminemment par un
demi-collier<de filamens rangés en. travers, sur la nuque au nombre
de trente. Sur;_ spn oeil est pn petit tentacule palpjé'ài cinqr.Qu six-
. hrins., fet ,il y^en a un autres,tÿès-petit à la', narine. Les canin.es^de
'la mâchoire inférieure sont petites; sa dorsale s assez haute et/échan--
crée,, atteint la caudale.
D! 12/l^ÿ A , 14 ,»eÇc. _ \
■ ''Tè&Cue5poisson paraît d’un hrun de4chocolat; lefihûït,îe devant
du museau étla4 jdîié'‘sontCernés de j>oînis-:blahhhâhés!, qui ont
Fàir^é'pu'siulés 'de petite véfblèî ' ‘
S a longueur n’est quq ^de vingt lignes.
JLe1 Salarias Q^AD^i^gî^îis,
s’ v{Salàfmsi qhadripinnis'l HBpJP 1
A la rde% espè^ë^ à {dorsale non divisée, nous en
placeiphs une qui est..remarquable
par ses quatre tentacùles palmés à peu p'rè^egapx : deux aux sourcils,
deux à la'-nuque \ eèqülHle plus e n a) uns 1triplé.*ala narine-.1
Il paraît élevé verticalement, 'ifiàis' sâ tête est petite; sa haûteur.
aux pectorales n'est; que quatre fpis qt demie dans sa ^ongue.ür, et
sa dorsale a moi dé de cette hauteur ; 'sa tè,te, ,à p,eq. près aussi haute
* que longue;*est six,fois dgns la longueur; sçjj ti;oijc .est- fort; com?
primé et n’à guère en èpâisséur plus du tiers de sa hauteur. Son
profil est vertical, lârge"ëf ârrôndi transversalement : il” n’a pas de
canines. Son oeil a près du tiers de la longueur de>la têtei^-et) la