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série de, dix grandes taçhes irrégulièrement rondes, de la couleur
j.auu^e<d?i fond,, et marbrées chacune de poiçts ou taches nôlrâtrés.
, Un tfait noir traverse la joue eu passant .sur l’oeil, et formant un
chevron sur le dessus de la tete par sa réunion avec celui du côté
opposé. Un second .trait est tracé en chevron sur le bout, au mu-
‘ "s‘è ^ | et dont les bràhçnés ïha^èhënt M lôn^ du'maxillaire j enifin,
un froîsiénàé trait d^sèènd de la nuque le long du pYécpercule. Lés
Il 1 ; nâgiôires sont jaunâtres.
Outré lés différences de proportion de plusieurs parties,
telles que la tête, les gectdralé.s j etc., on voit que les distributions
dérouleurs ne ressemblent pas totit-à-fait à celle
du .gonaeiie fascié. L ’individu est long de cinq: pouces neuf
lignesi -:-
L e G onnelle dé Strcem.
t ^G ü h riëêà is Strëëm ii J nob. ; BléniîiUs' gü letita y Stroem yPenn.
et Aséan.)
Le Nord produit un poisson que nous n’âÿons pas vu et
qui paraît tenir aux gonn elles, au moins par sa "dorsale tout
aiguillonnée*, quoique son profil approché de là /ver ticale,
et.quedes tentacules dont sa.tête est ornée, semblent le
placer' près des- blennies ou des salarias.
C’est celui quaaeérit, en 17.6 2 , Stroem dans son ouvrage
sur Te bailliage deSoendmoer, et qu’il a pris pour le blennius
gaierita, quoique bien certainement ce ne soit ni le gale-
rit a de Rondelet, ni celui d’Artedij néanmoins Limie, dans
sa douzième édition, l’a a jouté comme synonyme à, oésdeux-
là , de^ja assez disparates entré eux, ce qui a\àchèvede rendre
son galerita impossmle à;déterminer.
Stroem, copié t par Linné, donnait pour nombre àF son
poisson :
. ■Æ>.'60>éphw; A. S6-; 6 c 16 j .