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blême assç» épâissësioa' côiïletiÿvestmbwatre; iLÿst' suivi dHitotrès**
long? sac «conique fort aïguofet dont la poiïite atteint à-l’extrénuté
de la cavité du ventre. Â peu près au milieu *dé la langueuir^du
cpnè formé; par l’oesophage et l’estomac, on voit naître en? dessous
la branche montante de ce «viscère,' dont rextréÈÛité:iaaté»ew^%st
rétrécie; vers feeùe pointé est leq^fore, et f e parois de k ^ e portion
dé l’intestin sont plus, charnues que dans toutes le^autrestri^iôns
du tube digeSlâE «Sur les §@ôtéè?de la bibnfehê montante jràùtckïrd©
la pointe et même’àCûb leiduodénum,' sont -raftgêeés symétriquement
lesnohfopéîfâes.!appeBdicëacfocàles:,;iOn|E les plus lohguesjijso^i^sé-
î ? rées sur l ’origine de l’intestin,. et les plù^ petites prèsf deilcupmnte
où est le pylore. Le duodénum naît sur la portion supérieure de
la branche, et l’intestin descend le long' de Eestomac jusque près
deda%pointe;ûl remonte jusqukuprès du pylopef Sé 'piied%béb*latt
et descend jusqu’à la moitié de la longueur de là première anse ; il
se* replie et remonte vers le diaphragme sans atteindreda crosse du
;;ï Sp®ond pli; puis ilrse seontoume femoUvqauîetise rend dfeoit-à
l’anus e n se^dilatant un peu à hendroit oùiest la valvule du rectum,
laquelle fest placée- hors de l ’ouverture de 1 l’amis. I La veloutée de
l ’oesophage a dès papilles nombreuses, longues > et -moll.es.lJè ne
^cjs rien qUi jusûfié l ’asserûom de M. Gusien; qui parle; dansi le
Règne animal de papilles pointues et dures. Celles de l’estomab et
.. j de l’intestin «sont très-fines.
Dans l’in'dividu que j’aidisséqué, je n’ai pu rien ^observer .suif les
. ^organes; de la'généfatioïï ; 1 üson’ètaient pas développés. Lesi réins
forment à leur "origine sur ^oesophage et derrière le :diaphragme
deux rubans grêles, qui se réunissent en un seuL lobe-à peU près
au milieu dèdalongueur de l’abdomen; ilstdonnent presque •directement
dans une vessie, urinaire étroite, fort longue et récurrente :
il n’y a.pas de vespié aérienne.
Outr'ece que l’on voit «à rextérieurale ;son squelette, il y a treûte-
six .vertèbres a:bdominales,-et «yingt-deux caudales; les côtes sont
^eS'Styl;ëts;î6res-&is et très-^grêles.
M. Risso assure que le tétragonure a ;des. mouvemens