4 0 6 L I V R E v X I X I » $ U G | im Ï D E S .
les mêmes .q»çrj3a»sie i p i g e ^
spmçFâîî^ SeS'JjEîajîleii, p j^ . larges que^longugs, <p$..de ^puze à
quatorze rayons;
D 4—?l/!8j A.-3/lV; C. 14; P. 16; Y. 1/5.
Sa couleur est argentée et légèrement teinte'de gris roussâtp^ÇFne
bande un peu' Bleuâtre règne lp long de cbague flanc. Sa langu^
est plate.* étVelevêé1 par une arête ’comixièjCelïe’ ’de notre M. acutus,
maisrs^Mu;d s sont^echaricrés. La base de la p^torale'du côté, de
l’aisselle a un^îjarldè noire ,juuî ne se voit-1 que lorsqu’on rélève
la nageoire.tSa caudale, dont les‘angles ne sont pas assez pointus
dans la Jfigure, a-un léger lise'ré noir.
Les individus ne dépassent pas quatre pouces. •
Le M u g e a p e c to t ta i.e s n o ir e s .
\Mugil melanochir.)
U n - petit muge, de J a va, que nous' devins - à MM. ü u h l
et vau* H a ssé lte t qtie cês jeun^papirâKst^aoiit nomtné
rfiugil m èlariochir^f1
est remarquable payda.îlargeur-de sa te te, non moins que par la
noirceur de ses^.pectq
La largeur de sa tête égale sa hauteur., x%elle n’est .pas.déprimée
plus qu;à d’©rdinair.eV sa hauteur fait les dçux. tiers de,sadqagupur.
Son museau^jè1-trouve ainsi coupé a péu près carrément. La tête
ê t ^ L a u ^ r d tS c d i ^ ! ^égalent à peu près, et ne so it ^uère plus
de quatre fois dans la longueur totale. Ses écailles, aussi longues
que larges, ont de s i^ 'a h u itray q ns,à,leur éyentail.
i 'Sæîângèé k sur son milieu, une ‘arete couverte d’apretés très-
fortes; celles deS bOrds sdnt pltis fines: aux palatins il y fen a d’assez
D. 4 — \fi\ A« 3/83 Ç. 14;.P. r>
Il est argenté, sans raies, un peu gris sur le dos. Sa pectorale
çst noire, sauf le quart inférieur* qm est transparent; les autres
CHA-pv r. -«fcreEK. # ? *. $07
: ; nagëqires -sont finemientipoMtiïl^eÿdoinoirâtre.ÿ^sütÆé(tit vers le
bord de la •ver'glbt pointe de la! sëcbnde.
. Gejtte espèce n.e paraît pas devenir .tfcès-grande, car Jlè;ï grand
nombre d’individus qu’ils.;ont.envoyés, n ’a que trois pouces et
quelqu^digwsÇe
petit muge s?^euëfeasseg ldiii dans la mer dés Indes ;
car MM. Quoy-et Gaimard en oi^t, rapporté de Guam un
autre individu de la mdmeidllé.. .
\M iigil "Parsïci, Hamiltpn, Buchanan^ il (prangetiç rfishps.,
® , ’ pi
trnuge parsia. 4 ef eaux ^dojices du Bengale, décrit
et '.repiés6;n té • par M. {Buclaanauyr .
pârMît avoir presque exactement les pr^p^ftidnS !8$' ç$ M. 'frMa-
jnochir. L’auteur lui donne.un rayon de plus à la Jsè$ôÿdè dorsale,
et dit qu’il eSt^rgente ,;teint de* Ydrdâtrfe sttr le dos, pointillé oet
sans mes. Il“ de "‘parle d’aucunes t’aehbs noires survie? nageoires.
B. 6j.D.*f4 — 1/é^’A. ^ 8 ; C. 14; P. 14; T. 1/5.’ 1
Ce poisson ne passe pas un empan, et n ’en atteint le plus souvent
11que,.la ..rapitt^'i;
■'^fi§Sstè^ÿons le retrouver dans un poisson râppbrté des
bouches du Gangepar M. Dussumier, et qui paraît répondre
aux proportibns de' ce parsia.
^ ■ Sa hauteur-est quatre fois et deux tiers dans la longueur totale ;
d<? èâ tête ^gàle la: ' hau tWr :d u : korps ; la distance du
bout du rpuseau jjql’oeil neÈ faitfquë le quart d> la tête. La ligne du
PrQfil. est légèrement convexe, ^qmâchoirë supérieure est un ,peu
11 pTO^lnênte^fsWloIPofpitaïfeeôliûCTl^^refq^en an^e^dibit,
: la parËé M p § f d l ’i^nf biaxillaif e est très