CHAP. :.IV. TRIPTJÊRYGÏONS. 301
courbée en avant et terminée par I six tubercules disposés, comme
■ une fleur; ^inférieur $st» pîus-grps quelles autres.
,t „Tout eefpoisso,n.'est couÿ-qrt'd’ecai-ljes très-petites, si ce n’e§t celles
de la partie-antérieure de* b ligule Jatérale, qui sont plus larges.
Cette ligné/ après s’être- infléchie à l’apldinb de l’anus* disparaît sur
la queue.
La Vrâiè 'cbuleur dê <cè p'oiss'ôrr singulier nous est inconnue.
Deux individûs’seulement n'ôus Sont tombés soiis'les
veux : un très-petit de deuxDOU^ÉSe’t, dmni, que le Cabinet
du Roi avait p é c u le l’ancien Cab^neEdt^^Stadhouder j. et
un -de dix po,yç£S, r a p p ^ é du qap de, Ronne - Espérance
par fe.ii Délalânde* i
C’est ainsi ?quë l’on ;a appris son elîmafc natal ; le meme
que ceïili de tant* de clinus.
DES TRiPTÉRYdlONfe: Mj
Le. tript-érygion de, Risso. (aU.éd-, p- a4 1,)> ou blen-
nius tripteronôtus de sa i 3* édition (p.^35, pl. 5 , fig. i4 *)j
'est le type, d’un genre tïes-^vdisïïi des1 clinus et dont fn se
distingue, par la dorsàlé'divisée en trpi& parties.
N'oiiS éri connaissons uné ^spèce dans la Méditërràttëé,
qui y est abondante; les mers étrangèresJen nourrissent
quelque? autres.
L e TRIPTÉRVGION A:BEC..i‘ É
‘ ( T rip te jy g ïo n ’jîasks, Risso.)
.C’est un petit poisson qui u’est^pas très-rajeîSur le QÔtes
de Provence et^de Ligurié,iet dont il nèparaît pas cependant
iqu’aucun auteur ait parlé aVaut M. Risso.
1 . Çjetle. flgure est peu exacte et pour le travaille!, pour tes couleurs.