2 4 0 L I V R E X I V i ! & . 0 B I 0 Ï D E S .
Le premier rayon de la . nageoire -dorsale est aussidétaché; mais
il ne dépasse pas les autres.; la -hauteur du corps est quatre fois’, et
demie dans la longueur totale; sa tête n’est pas.plus longue que
haute, et tout son qqms «St coqapriiné* §e§ tentacules ^qurcUiers
sont fort petits. Il a des canines à la mâchoire inférieure.
D. lô)Ï2 ; A. 14. .
Dans la liqueur il paraît d’un brun marron' ümforme : lés bords
de sa* caudalé sëut“ un peu plus clairs. |!
Il n’est long que de deux pouces*
' L e Salarias 'rùs'ânnêI/''
{S a la ria s fa s c ia tu s , nob.; Blermms fa sciq tu S >TA., pl. 1 6 2 , fig, .1 .)
Je n£i pu ençoléf voirie blennius fâ sêia tW s de BJbbh,;
bien que je. l’aie long-temps cherché dans beaucoup de
ct^Ife^^ns jÿ^jupaépkè crupendantquelque temps quç Refait
un vrai blennie , e]t peut-être le gattorugine ou lp pahniÇojme
défiguré jamais un examen plus attentif, et la circonstance
exprimée dans le Systèmeqiosthume (p. ïB8}>par:ées mots :
dentë& sttaceix&mQfcitesy m’^prouvé^que ce $e peut être
qu’un salaria?.,.,
A en juger d’après la figure,
il aurait les ventrales plus longues qu’aucun autre de plus du
cinquième de la longueur; son profil, à compter de l'oeil, serait
presque vertical ; son tentacule: sourcilier serait simple et de la
hauteur de l’oeil; sa bouche n’aurait point de canines; sa dorsale,*
continue, égale et atteignant la base de la caudale, aurait en tout
vingt-neuf rayons ; son anale dix-menf1. Il serait d’un gris brun
avec six ou sept bandes verticales plu» brunes, qui monteraient en
1 . La figoremontïe Fânale .èomme cèptiaue à la caudale, cè dont je ae
connais point .d’autre exemple.
chaR'. ï i e » salarias:
se bifnrqUaut snr lâ^ê^Rl^^ifelqües tâche! iiÉàgeiCtslS*Ëlanàhâfres
sé montreraient survies flattés;il y'aatii;dit quâtrèlignesbrunes*en
travers des pfctprale's ;:et!k$©is|en tfa v endes ventrales, etc.
; Bloibh', ^hs'rëâition allemande’1", ditTavoiR sûdhété dans
tin encan lhôllâüd,aïs^ dpnt lecatMp|fue'lè:faisait venir des
Inde^^et dan? l’édjûün française il prétend l’avoir reçu
du Japon.
Dans Le, Catalogue des poissons jdeATenisc .fl-e M. Nstccari
il est question'.d un Menhir, nommé galjo d’Istrîa , que
fauteur regar'de*C'omme' le blennius fasëidtus de Bloch2;
mais déjà do donf’é aé ,.çèt‘fe ofterminait ôh .et fait
remarquer" que ,ëe nom de gallo. d’Istria ^ht commun à
^plusieurs es^ces du geçqe3.. Les caractères de deux tentacules
jenjtre lçs yeu x , de dix-neuf ray-Q$is,,à^ l’anale et de
bandés transyèyses, se trouvant souvent dans le blennius
ten ta cu la risc’est prqJ^lemçntjà lui que ce,s observateurs
ont cru_ pouvoir attribuer le. nom à^ifasciatus.
! Mous- trouvons :dans fAtlas^A M. Iluppel et 'dans; les
dessins inédits d-e M. Ehrenberg, quelques-aûtres salarias
à dorsale continue et sans crêté, demt noùs allons^dbnner
l’indication.
L e Salarias cvsÈbpÉ.
{Salarias GjüclopSj Ruppel.)
Il est un des plus remarquables,;
Sa hâiatçur et la longueur de aa tête sonTprès.de cinq fois dans
sa longueur .totale.'Son profil approche delà verticale; la mâchoire
1 inférieure a des canines ; sur l’oeil ©st un petit tentacule* pâLÉé : à
la narine en est un tjrjes-|!fetit e f peu divisé Sa dorsale, égale partout
l a is s o n s , etc., Il, P:p ;i. — 2 .Journal de physique, t* XV, tSaà, p. S3i.
— 3. ibid.f t. I p i t f p p f «
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