■ CHAPITRE VII.
Des lAharrhiques.
•: -Malgré leurigt^spurp^Jei^-gj^deur, malgré Tabsençiè
totale .de.; vgiitrales, malgré la qopÇ^r matipn; extraordinaire
4 pS mnarrhiques 'ayec les blennies. T .es )«»
fo rm e l^ l%|ê|% la des^naggpife^, la-xçqnceur
des ^gilles ca^ée%sgusjunmucus, ep^is e||gd§sapt,i^|t
le^jnêmeSv L’organisation interne ressembla dQ!1* gu^Pd
que d’extérieure. Un canal intestinal court et sans,cæcum,
l’absence de vessie natatoire ,> sont des ^caractères anatomb
ques cpmmuns aux deux genres. Le squeletté est également
semblable, Qu, es|‘d'ailleurs, conduit, -tQutTnatureU^pent
à faire ;ce-: rapprochement, ibeause de leur ressemblan ce
avec 1^ grands zoareès d ’Amérique dont nous venons de
p a r l e r ,^
D’ailleurs la diminution -des ventrales des gonnelles .et
d«pâ#®&Éols,- nous conduit aussi insensiblement à la disparition
complète de ces 'nageoires, comme nous ldxoÿons
dans le genre qui nous^ocpupe. _~„T
Les anarrhiques vivent dans les mers du Jïord : M,.Agassjs
a placé dans ce genre upe espèce rapportée de-l’Atlantique
pâr M, Spix, .çe qui poupgit faire cgqlrp qu’ils Ikvançent
un peu aussi vers le*3ud; mais en parlant de.cp poisson,
nous ferons remarquer ^ cp#etèrgs qui pourr|ient Péloî^
gnçr des aparrhiques, -
H - L ’A nARRH*QW||(':» up.! i
XAnarrhîchas lupus, Lin.)
C. Gesner avait i£<g]0Nd’un de ^elfcorrespoo clans \ nommé
G. Fabïfciue1, lé squelette",*i'à'ïdsdlbription et la figure d ’un
grafnd poisSon d e l’océan Germanique-, que,-selon cet ôfo-
servateur, était- nommé^par 'fes petfptasrd^ssbords §|Éj la
Baltique klippfLsch , so it|* d it-il,> p arce que d ’on rapporte
q u e ^ e 55 poisson monte sUr?legtrbch:ers^§t)it pârteè' qu il %e
cacbe parmidesÿrocbess|duS^maritses.e@esnér a préférëda
première de 'cës^dfeux 0®#rfuti^fe$ qufcéftfpr o b abïernent
la plus mauvaise*, fet a forgéde nom àKÈi&mÙÉÊEÊfrMs, &e0 fàor,
dûi'ÿferÊe1 cùvc6^i% $ôjj.aip o u r exprimer u n e p ré te n d u e bal)i-
laquelle ÿ e sP nulleméttlcOnfirmée
par les àuteürs’ide#. plus spéciaux et les plus modernes.
Gesnêr apubliëeetEeÆgurë'dansràônlAo/nenç&^Oriû!^?^«-
tifàum àpirnantium, pag. 116, qui date d e S '5 6 d^%&-dëst
la -p r èm iè r é ^ l’on ait dfeç&sgrand pôislon
dos-t&ér^du Nord : elle est mêmeïâiisez ëkacte ,-sauf quelques?
détails p eu imp ortans j il l’a reproduite d an s - sés^P a ra li-
pom éria; p&gv 4-
i Nous trouvbns ensuite notre poîséon dans rlclithyoldgié
de S'dboneveldè (p. 45-f-tab4 5),■ sous la dénomination de
Wolfy qui lui était imtpïîf^pW les habitans de l’île d’Hel-
golancb 5 cbonëvé&e^'qp traduisant tfemormpar celui de
ïùpus marinus y fait observer qu’iTentend parler d’un
poi’sspn très-différent du loup degqmbçles! ânicien§. 3 a description
offre plusieurs observations deudotaiTbien faites,
mais il a cértaii^mçntftl|éadcbup èx^gëïé la forcé de la
morsure de ce poisson, puisqu’il va jusqua dire que les