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et de moitié de la hauteur, atteint la caudale fit s’y; joint un peu.
Les rayons sont- marqués comme il suit :
D; '3ày&§ÔjtfMP Éjf y.' '2. tj ü
Sa teinte * est d’un grîs fauve c laira ve cde s ondf^ transyerses
irrégulières et nuageuses d’un fauve plus brun. Les ‘-ëotés de la pète
et de la partie antérieure du front sont i||né| de petits points noirs;
sur le devant deladorsale éstnn ocellé entouré d’un doublé neréle
noir; le restefcde cette nageoire*^ deux lignes longitudxhâlés fâiiVes;
à l’anale près du bord; est une ligne noirâtre et un Ks'éré blanc.
Ce peisson,J^®grie deiW poupes et demi, a/efe pris
aux environs de Tor.
* . Le SÀLAKIAs'îfOlR. fl
( ^ a ^ r^ vn ^ e r^ É h ren h -)
Cest une petite espèep courte,
car la Hauteur n’est pas quatre fois dans la -longueur totale; elle
paraît sans canines, M.'Ehrenberg ne lui compte que vingt-qualrè
* rayons ên tout à la dorsale m treize à l ’anale. Son profil est fertical,
et sa dorsale atteint }a base qe l’anale.
Ce petit poisson est tout ppir et long de quinze lignes^ .pépt^
être qu’on pourrait le rapprocher de notre salarias variolosm-, :
L e Salarias frontal
’ {Sàtâjfa^fronia^, Ehrenb*)
s ESt un très-petit salarias,
dont le front, à l’endroit des yeux, est|un peu plus saillant que
lajÉoüche, qui ÿ porte de longs tentacules simples, et dont la
dorsale atteint la caudale gt a trente rayons en tout : à Fanale il
y en a dix-neuf. Sa couleur est un rouge de brique un-peu rembruni;
la moitié postérieure de sa queue et les bases de sa, dorsale
Ci dé son anale sont d’un bel orangé ; ses pectorales sont, jaunes.
- Mi Ehrenbierg l’a pris JwfMassuah, où 'il l’à «ottodfe
»appeler par les Arabes kusciur goebi.
Il est lqpg^de vingt ligne||
z L e Sàlaé'ias^a queue rousse
^ .(Salarias .pjficauâiiSy Ehrenb. ) -
A ’la dorsale élevée, composée4îe trente rayôfisyl’aïiale de ’dix-
■ - huit, la'tête,petite, le profil,vej|tical, un petit-tentacule au sourcil ét
• un autre à la narine. Sa eohhp(r est iK^de';Vi^ottçlè^atVec cinq
bandes verticales marbrées dé ’n ^ 'âp^ ët'We ^anchâtbe rléà p c to -
‘ Traies et la caudale sont fauves. A
L’individu est long de deux.poupes^gt un quart. M. Ehren-
Jaerg ra*prii^Massuah ,oqGnlenommê‘w2oM^Za.
i ..-Le genre des salariasf comme celui lies blennies, com-
, prend plusieurs espèces, qui ont, indépendamment deleurs
tentacules, la- tète surmQntée d’une crête membraneuse ou
chàynpe.j.mais qui, dans»ceïtaines jd’entre.elles du,moins,
est partrcùlière aux mâles ; nous en rapprochons les’descriptions,
^ .
- L e BALARIAS A ^ ^ A fR E CbRNESi
' ^?^Salârias^quadricoriïis, mob.) *• ,
L ’espècê que nous décrivohsis.dus *cenom est là plus
communie à l’Isle-de - Fratfçe, et l’uiïe des plus grândes du
genre après lejalarias veïmiculé. Le mâle réunit à unélbrê^e
membraneuse quatre, tentacules simples : la femelle a les
tentacules, mais la crête lui manque.
Sa hauteur est* éinq|fois' ét démièlou six fois dans sa longueur :
r c’est aussi la proportion de. la longueutMé sa tête. L ?épàisseur fait
un peu plus de moitié de la hauteur. Son profil, à compter des
.. yeux- r est presque verficaL il Wm poïplt de Cânàbsisr ïèt les dents