(LïVRR Xïlfs. MfJ GIMDÜDES.
du céphale.^SiTon sW>ràppérfeit ^®asse^tiis-t|l^mme l’a
fait Schneider^'il y eït aûf&à'ên Égypte ünf es^èc^ très-
différente des_jiutrfts~j celle (juè^ë^èlilbr’é Sâ^ffralife^et
philologue a nomméë, mugitHasselquistiij, mtps une le’e-
ture attentive de ^description fait .promptement reconnaître
qua-ce prétendu mugît n’est autre que la. sphyrèpe.
II.suffit, .pour s)en ç^Eyyaincre; dé .^ ^ q u T y .^ t dit jlu
bec, de ses sillons, des. rjàents, de là: Iignn latérale, ,e$c.9*
i Ce qui-est surprenant ,• c’est que Linné ,séditeur de Eassel-
quist, nè se'Soit pas-aperbiC d^fferreur d e !ceKvôyâgëiîfJfet
que dans lë^;édid0^s!X ét XII dû Systema natures, il 'ait
toûjours rangé ce poissbn dans' fés synonymes de s‘on M.
ceptialus. Nous nous étonnons moins de la dpçihte inerte
gy(çqs laquelle son exemple a étJ^mYÎj par presque, aupup.
des naturalistes récens, n’a jugé nggessaire de prendre, la
pèirie de.vérifier’ lés SyhbhyAi^ aé %es*p$ëdé@©sseurs', et
ils se sdût boru^ à en/#£finmuler le plus jqu’Hst^fqt pu,
sans choix et sans critique. •
Une 1 chose plus fâcheüse , #esè> que LinnéjÉ apEèsyavair
donné dans* sk 'dîxfènie^Mîtion lé véritable1 îâôiûbreI des
rayons de la première ria’gepîre deg muges, qûrfest! do quatre,
l’ait changé dans la dûüzilme|Tst en mb indiqué ëïüq jp jo -
bablement parce que l’autorite de Hassélqüisx , qui lès afkit
comptés sur une sphyfcèrie ëfc un muge, 1 ni parut
confirmer céllë de Willughby et d’ArtêiM ^ ft I qu’il ait fait
même dé cë faux nombre4lè’ caÈeëtère’!spe'êrfique’d è i 2 séii
mugit cephalus, erreur reproduite par M. Jliëso lûiWêmë
(i.^ édit., p. 343)j qui était plus en état qû’àuèun autre
1. /Syst. ichthyol., Bloch, éd. de '^gh-, p- xxxii et 1 ïgJT
2. Voyez Hasselquist, Iter Palesi. , p. 385* «
de 4a rectifier ce-‘qui ndûâ»'force de -ré^élèr ici.que
ndtvéiéephaie '^ ^ ^ é t de'M’iTVî&oy n’apa» plus
'èin'qLifâÿàns. fSonnini fait'ëxprëSsénient
ausSi|a remarquë quejè niugéId’feyp^e nèn/a que quatre.9
d y^.fie ^ra^'im^gps ,^ap^ lf-Nil^etjde plusieurs
MMfe^dffr-oi'e^Oljvi^rqipus pn^avaipiû râppoMé une,
ffjt il s’ém'fl&t trouvé quafcra- dans les riefies #3llections -de
M., Ehrenberg. ;v.3
Parmi,ççpx-.ci dj’qb'or^ not$3,:çép)iaïe ordinairebien
çaraetçriséitrnuomjne .dans le pays Ghevane.
®* Un autre pOrtede;, nom dbodg’, et nous nelpamvolns le
distingue^de|potr^ caipit|^; mais il paraîtrait qu’oùdfHr
. le ‘nûinTlé % urif èM litote nôiis?#aVcffiÿ-recU
sl)u|te.en:qm, date une^pppetion d u ftil faite par M. Bové.
I ^w it|î^ ^ ^ L # iy uifômhie 'ârisdî màéH,’-*ek n i mûis-^paè
paru dfffékèl^e qiotrre mugit saliens. s
* DÜFÀHBÎÀ: 3 1
(M u gil DubaJirq., noÈ.p ^
,,, Un quatrième, que.M, Éfirenbftg dit§e nommer ^uhahra,
nousqipart #àne -^pèce différente de celles de l’Europe.
S 'S^ù 'ôpefcull-^st'plus fèng que-haut, ce’ qui lui dôioee uëé: |ête
plus silongée. La distance entre lé coùimeùèemeni dfé?<saiJpmnilre.
d’ors’alëyt'celui de la seconde ést'moindre que dan^îèWâtifiës espèces,
. car dans
1 ^seèônde* nageoire du do^ êt éelui de la éaudhle, et dans le dubahra
elle esiTffun qùaff âoihdre. Du réstetl a les caractères de notre
1. B s’ést corrige atiïs sa noÊYëmCédMMs|îp' '
2y Voyage1 dans.la haute et Msse Égypte, h, p. 297.