dti blanc à la pointe de ses rayons;'il y a aussi un fin liséré blânc
à l’extrémité de là caudale, ét un vert à la deuxième dorsale ; mais
•ces diverses couleurs disparaissent dans la liqueur. .
Certains individus^ probabl^Mnt dés îfemelléf') ont moins de
‘rouge; leur tête n’a que des taches noirâtres, etdespremiers rayons
de leur dorsale ne s’alougfent pas en filets, ;
C’est uni de „cejax-là\qué M. Risso a représenté ( i . ie éd., pl. 5 ,
fig. i | mais peu ; éxactément.’*
La taille de l’espëefe rfexcède guère deux pouces ou deux pouces
et demi. On la nomme à Nice bqveccà d ’àrga. M; Risso dit cjli’ëlle
sé tient dans les fucus, .qu’allé paraît au printemps et en automne,
et que sa femelle pond en Avril parmi les zostera. Il ajoute que sa
chair est ferme et de bon go,ut ; .mais on doit bien peu rechercher,
comme aliment, un poisson si
Dans un mérnoire. que M. le professeur1 Çocco a bien
voulu nous .communiquer ,sur divers poissons de ^Sicile,
se trouve une description de ce fripterygion^SjOus le. nom
de tript. melanocephalum, qui conviendrait-tijès-Jjien aux
individqs: uMre.
On le prend à Mëssine sur les fonds vasenx, et il est porté
au marché avec beaucoup de petits blennieset de petits
gobies. Les pêcheurs le nomment haussa russa. Son abondance
est assez grande au printemps"'et en été, mais il
devient rare en hiver.
Le T r IPTÉRYGLON JtlÇrRIPEÏïNE.
( Tw jjterygion rdgripenne, nob:)
Les côtes Ot les rivières de la Nouvelle-Zélande nourrissent
plusieurs espèces de ce genre.
MM. Lesson ett&arnbt, lors de l'expédition du-capitaine