2 0 4 LIVRÉ XIV. GO®|OÏpESsupériëure
j.e td e vingt-quatre à; l'inférieure. La dorsale^ égale de
-hauteur dans toute son étendue, fait aisément distinguer pé pholis
de l’espèce pr écédente. L’anale commence sous le treizième rayon;:
toütls deux sont très-rapprochées de la caudale arrondie, et tiennent
à la queue par une membrane. La pectorale eft arrondie ; les ventrales
attachées ,:1comme à l’ordinaire, en avant des pectorales.
Je fâjls cette observation pour qu’on ne croie pas retroufer
dans ce poisson le pholis de Robdelet; '
D.36; A. 26 j Ç. Î3- P.: 14; V.' s! / ; '
La peau est lisse et sans éëaïïlês^; ,1a ligné latérale j courbé au-
dessus de la pectprale, droite-^epuis cfette nageoire jusqu’à la
caudale, est formée d’uné série de tubulures. La ^éeüleuf est un
^' gris-rougeâtre, p lu so u moins lavé d’ardoise;le s nageoires sotit
un peu plus foneées;,iSurtout entre les fàyons»
La longueur est de quatre poucés et demi,SL
■ L ie P holis cArqlin. ■
$ (iP h o lisi 'carolinus‘, nob.)
L e s eqtes de l# .G a ro l|^ nourrissent. un pholië qu i res^
semble2 b e au cou p b celhi de n o s ç o te ^ mais
il est plus glongB* plus comprimé de, 1’avânt, et a |af tête plus
longue, à proportion’de sa bauteun Celle dti‘ coijfïs ne fâit que les
deux tiers de sâ longueur; dansflé PA. loevis elle en fait les trois
quarts. $es dents. ordinaires sont au nombre de seize en haut, et
de' quatorze pn bas, .avec des canines assez fortes,,Sa dorsale est,un
peu déprimée au douzième rayon, et en général sa partie qpmpbsée
de rayons simples est plus basse que la molle; elle s’unit audps plus
loin de la caudale, de sorte que le tronçon dé queue qui reste libre
eât plus long que pelui du pholis lisse. jjj
D, 12/18; A. 18, ete.
Le corps est verdâtre,-marbré de brun, de-maniéré à lui faire
quatre ou cinq taches irrégulières et nuageuses le long du dos. Des
»tÇHAP. I. PHBLESï VL; 25 Oh
poin|s *b?uns f ont léfftés irrfedièréme^iiur ses nageoires. L’anale
a le’bord'nrun^et Jes pointesidp ‘ses /rayons pâles.
Nos irid|yfdiis Sjgmt longs de quatre p'èuces. Ils nous ont
été donnas! pRr
"L é P f i o l îs a .p e t it e s d én t s . ' ■
(Pholis'parnden^j nob.^) *
Le Gâbinet du roè a Irescu de celui! deVienne un pholis
dontda fornievhst à peu près, celle du Ph. loevis, •’<
et dâns'-son * étbt-dèssécKé^onme lui vdit aucun1 tentacule ; mais
^fees ' dêittS rsôtot ïbfet^4^^;plüM^ëtitéé' et iplus ■ hôÉËbé^isës.LV'tl iat a
aü mo,ins' quarante en^ne:.à .chaq®eipâelioirëfet dé fortes canines*
La parlie,m°We dçj$a dorsale s’élève au-jdessuS(d^sa partie cp|àp;osée
, de rayons sans articulations; elle n’atteint.pas tout-aîfait la caudale :
c’est une des espèces qui ont le moins de rayon»
D.( 11/14; A.s 15ÿetc,.»,i(
v Sa cpuleur paraît .brune, avec quelques points noirâtres ; épars ;
majs elle doit avoir ptp fort ahéyéemar le dessèchement.
| J l e|>t long dehjSix poùcësP**
■ îîpws ignorons entièrement quelle mer l’a produit.