Ce poisson est, .suivant M. DusSumier| un des meilleurs
de.l’Isle-d^-Franeej ôMe*îïonîme mulét de rivière ou chite.
Il lé t i ë à tè»uj©Ürs „dan§. les,-, eau?; douces^et ne se rend
jamais à la paer. M.'Düssumier le |p t rare dans, cette colonie.
Nous "en devons deux autres à MM«' Qnoy et Gaillard et
à.M>' ©esjardins,.
Nos individus sont longs de sep. a Fuit-, pouces, et
Suivant Mi DuSsumieU Un n’en trouve-pas qui: pèsent plus
|pP deux livres et demie; U
; Bf. Lescheniawlt nous a rapporté dîèsiîeâux douces ^de
Bourbon-un petit poisson quê tions croyons de* la même
éspï^cè. p
L e N es$ is. o p b u lo ïpe .
*,u [ffîêstis âoduhi-dbs^ nob.).’:.
, Nous avons reçudpseaux douces de ilsle-derFraucq
un second nusti§, qui diffère,. du précédent par plupgurs
particularités fort notables.
Il a la5d%Vies: pîUal'épaisses et srçrtôtffi llnfériètire, IsujçïelJetiàit
des replis .assez g-rps.;JL.es.dents de Ja mâchoire Supérieure sont
,à peine ^ aucune. ià la mimhoire inférieure;
celles du, çhevrondu vu mer, quoique petites, sont p^s-faciles à
distinguer.. La tête, me seinjble g.ussi plus large, plus arrondie, les
opercules plus renflés, la. caudale .plus roude.
D.J ê h y& ÿ L ‘P. .14* y ri ^ "..J
Le vert sombre du dos paraît .s’étendre non-seulement sur les
flancs, mais! descendre aussi &u,r le ventre.
La longueur du seul individu déposé dans le cabinet
du Jardin des plânlJe#i Ost long de seize *poucos V il aîété
donné par. M. Lamarre-Piquot.