tiih n e n t àila $urfa6ei^â: dfaàir tré s ^ b o iin e ,^ les'Eiiro-
p4Êns la recherchent blÉiii&qh^ p o tiï lè û ï tà b ië /M ©tissu-
mier d it qu’on pretilfrÉt là t^tê p b a ë celle d’une grenouille.
Il e ji a vu des individus de dix-huit a vingt pouces#M*Bay-
naud en a rapporté d u Gange sous le nom de collo. .
ïjè ' ? i
(Mugit piàHièépSj lix>toty-&
M. Duvaucel a envoyé ,d u Bengale une espèce d e muge
distincte de toutes lès autres
par l’aplatissement extrême de^sa tête. EJle n’a pas,en hauteur à
la" nuque moitié de sa longueur: en avant elle eét encore bien
plus plate, sa hauteur Surpasse sa longueur^dun~tiers. ï^^ ^est
petit, placé aU quatt antérieur.; la distance entre les onTOes Uê la
nânne et celle qui est entre le*, postérieur j k ^orÈite', sont à peu
près égales. Le sous-orbitaire est dentéljp échangé en'apg1.| obtus;
son extrémité est tronquée carrément et presque kns’ dentelure,
La lèvre supérieure est assez mince, mais ses dents, quoique^ très-
petites, se voient aisément.-Les ecadïes sont assezfgrandes.. Je «rois
qu’il y^en a une courtesurla.pectoraïe; mais llndividu est si hial
conservé que je ne puis en juger que par le repli restera la peau,
La pt-enlièré dbtsalè n’à quê les deux cinquièmes : d* .'-l^|È(ieur
du corps, mais ses rayons sont âssêz forts. Lâhaüjteur du coirps au
milieu, égale la longueur de la tête, et est dnq &i«~dans b Ion-
- sueur totale,
‘ j). D. f 1 ^ 0 i A.,-3/9 -,p. 14;P..lT ^ /|® !Vf
M. Belanger nôüs èn a fà p p o r tlq u i o n t treize q u épia-
toree pouces de longueur. M. Dussumier en a eu de plus
petits, pris dans les étangs salés des environs de Calcutta;
fis o n t la couleur générale des muges, verdâtres sur le dos
et argentés sous le ventre,
: Après; eés » espèces:^ qui se 'rapprochent du eépMle
d’Etirôpë pjÉÉ’ le voile aaipeux"dcrrit'leur oeil est êntoulé,
nous pouvons en citer qui tiënriënt de jfrës au cKelônet
surtout au labeon, par leur lèvre supérieure haute et char-
nqey^gia^ qqr.g’ep dis^ingqe^t promptement parce qua
l’étude, repos Leur maxillgjire .est caché par le sous-orbitaire
et les replis des mâchoires.
Le j\ÏUOE càÉNILABRE^.
; £Mugit crùni\abis, JFofsk.) '
La mer Rouge en produit deux, que M. Ehrenberg a
rapportés; et qui pourraientpresqué également bien correspondre
m mugii erenilübis defforskaL Geluüaüquël nous
affectons plus particulièremen't ce nom^paree qu’il répond
mieux à; la description ,du naturaliste danois y '
a toui-a-fait la forme ( générale de potm ^abéon ; sa |eyre supérieure
est aussi épaisse, aussi hautepkiaïs des angles .latéraux4 en
sont pfes ÿgus^p. a également la caç^^ de . la lêvre^jnférieure
pchancçée, et de^ erénelures fines et charnues aux lèvres; mais elles
sontqçi beaucoup plus fbrtes. Son bail est plus petit; lesÆciüles du
dessus de sa tête, plus grandes. Il n’a pas le sôus-orbitairè échâneVe*
, on peut dire qu?il a tout au plus un léger feston au-dessus : de la
commissure. Dans f état de repos on n’aperçoit rien de son maxillaire;
l’anale commence directement sous la deuxième.dorade ne
porte que neuf rayons* mous, tandis que dans le labéon elle eh a
onze et commence un peu plus avant que la deuxième dorsale à
grandeur égale; ces deux nageoires sont, dans le crénilabre,: couvertes
d’écailles.' Sa tête est un pêu plus longue et plus large, et
sa caudale un peu plq? cçùrté, qu’au labéojij mais l’échancrure en
prend de même moitié de'lâ longueur. La tl ê est contenue cinq
Hi ciüdale pr^àè? six fôis,
et sa hauteur quatre fois et un tiers. Tottt soi* ebrps: elt argenté ët