plus foncé sur la dorsale et sur lanàlej deux séries transversales
de points bruns sur la pectorale et sur la eâudàle.
Cette espèce “est vivipare. MMr. Quoy et Gaimard Ont
trouve Iq iaç de l’ô'vâire rempli^de 'petits. Lçs individus
que nous ay onè. examinés ne portent aucune trace de verge.
Nous ne savpn^ pas st le mâle en^mauque ppinine :$ans
le zoarcèS) ou d oou§ paypn^ vu qu#.4 ft§ fentelfos.
DES: CIïtRHIBAR»Ê%, ;
ë f éri' p a r t fà u B è r du Ci^aiFiLRFÉ! Dy Gap.
: {Girrhibç(,r]bi^ çapgjt^is j jaob.) ’
M. Cuvier* a séparé',* squs ce nom de é lrrh ib a rb e , un
poisson d’aiüeujs fort semblable à nos myxodes ? mais qui
a la dorsale plus oontinue soit
sur le dessus de la tê te , soit à la synipfe]^^ ^% ^ e u x mâchoires
infoiieures. Cette disposition n e j ’observe' dans
aucun autres L o sc fo n tse p velours sont d ’ailleurs disposées
comme dans les c lin u s, avec lesquels eè$ poissons Ont
encore u n autre ra p p o rt màrqué p ar le grand tiôikbre des
rayons épineux de là nageoire d u dos.
Nous, n’en connaissons qu une espèce, dont voici la description.
Sa hauteur aux pectorales est près de sept £bis dans sa longueur,
et son épaisseur, au même endroit, près de deux fois dans sa
hauteur. La longueur de la tète est quatre fois et un tiers dans la
! longueur totàle* die est de deux cinquièmes plus longue que haute,
et son profil est rectiligne, son museau pointu. L’oeil est à deux
de ses diamètres du bout du mu&eau,. et à peu près de quatre de
celui de l’opercule. La bouche, fendue jusqu’à l’aplomb du milieu
de l’oeil, a la mâchoire supérieure bien protractile, le maxillaire