; Notre blennius palmicornis ést^àf ce qu’il nous paraît $
le pholis de Rondelet?', qui à servi: dé base à l’espèce de
blennius pholis d’Artedi et de. Linné;, ;efc qui est “ ausside
pholis de Ma Ijlisso (A.e édition , p. 23a;) ; mjiis le pholis de
rOeéam tel que Tout donné Ray^ennaid, Blofjài, Dono**
van et d’autres ichtby ologistes >>est d’une espèce différente,
L lC, B l. pplmipoppi§fHesjç, ^pssi|,.ïsqlpu, toute ^appari|nce,
le blennius vividus de Rafinesque {Çaratt., pi., 4', fig. %),
qui, ainsi que la plupart des poissons de eétu ouvrage,
aura été dessiné d’après un individu. dé&séché et tiré en
longueur.,^
,^|!e jÇ^pis,. que, c’est enpÇïG.le blenniu,s,spnguinçlentus9
de Rallas : fous îles détails de-sa description, «et jusqu’aux
taches rouges de ses.pectorales$s’y appliquant parfaitement.
C ^ ^ s e lo ^ ^ x é l è b ^ naturalité f up j^Tssqjn foft ,çpm-
mun sur le^ cotes rqcheuses de la Tauridq, et, qui s’y
prend aisçjnent,;à :1a ligne Mft aux filets. Il peut vivre plu-
sie^ars heures hors d e l’eau. Çuit^sa chair prend da consis-
tancepd’u11 cartilage .et se laisse difficilement séparer des
arêtes; elle n’est pas mauvaise aii goût, mais on en fait
pe,u .d’usage.
Le B l e n n ie d e Y à r e l l .
(B lennius Y aretU i, nob.)
Nous, n’avons jamais reçu le blennie pahnicorne que de
la Méditerranée. Il nous paraît, qu’il < existe dans l’Océan,
et- assez loin vers le nord, un blennie voisin d ece palmi-
eorne, que nous navons jamais vu, inâisqoi, à en juger.
1. L .y i, e; .235 p.jjj2qp,. Coçi^.Gjesner, 7i4î A].drov., »»6$ )!VilIughby, H,6j
%. 4. — 2. Zoogr. Ij|,D r '1 j« ,\-