Noustrouvons les mêmes observatioüs'dansTlGonogta-
phie dè la Faune italienne , qniaüt air goût déliéat de la
chair et quant aux couleurs de l’opercule j aussi nomme-t-on
cette espèce à F o dalla-^arzm d’orù \g a rz a
signifie opercule danstie langage des'pêcheürs); quand ses
teintes sont plus laveès, elle Prend le no,m de çefalo chiaro,
et quand les raie? sont plus brunes, célûi'dejeejfâlo rigatOj
nôiû qui ‘s’applique xepénâaht a' d’autrés e sp e^ . En Tos-
cahe? o’Ü la CÔnnâiî^oiÈls là d éno mina t i o n ^ riÉaâîgiÜ
d’otOj, et
' (a; Qenes i^ous celle de musano d’all’> oro.1
En rgsu'md^ ce muge 4.o-rp.a;pjpsque' tousips^c^ac^res
difforme du, eapitpn ,,-si. icfe^stique dentg; sont, plus
fô^,.,.<|u^S0fiama^a^«weat,'mdimit rte^uÿbéifét centière-
lurent cachtf:quand la bouche. estnferméèç>\et que ses pectorales
&ont^lù^lbngüês>, plus pôintWèf Sans tachesnoires.
q u i, d it-il, ësi’Jemblafele a ü ( cM rëu s1, rhais qui a là 'tê te
/ÏW.Ç.sâ çîmr*e8| p|usg}uti-
p^a-se qt^sa1('peau.plus epduite de mucus q u ç S le s des
autres especes; si dè^propriéÿê^étaienft^QnstautÇjgy ce pourrait
être dé mj^ordwAristote, qui Semble,pyloir- tire son nom
de sa mucosité, et dotfpireSt dit paèDâ^quîiljp^^apnmt
.que dumucus»<|uiïèrivelôppef|.mais' ontlit,'dans unautre
passage, que.»-ag-i^ js< ^ est mandes ^paoins,,bons?.parmi les
muges,'' ce qui ps accorderait» ma^atrttCf le-tÉémbigna^fr'tiii
prince Musigna#>: et de«M;i Fisso.
n° lF& P S !%üre,p.^ a g g | plancKe de
nout c roW m§ le n.° A donné comme
uûeïlmeté dtf Aii&MuratW, é p i e n t 1 f a h t e f l d a t t^ l^ îm c r t ife
de son^sousiOTbitaire. — 2.’ Âttw, 1. YII, p .? ^ .
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