par l’excellente figure M. Yavell, est certainement d’une
eëpèeetlifléréjatei t Gé zoologiste iië ?sérâit pas le >preipier
observateur qui Fait,décrit, mais il la rriieux fait connaître
par. le dessin que nous pçuvons extminerp et c’ést.pour
cette raison que nous nous faisons un devoir et un vrai
plaisir de dédier cette espèce ài-çet habile naturaliste.
Elle difè red u blennie palmicorne pardon profil et surtout par
de . nombre des -Fâÿbns 'de la d o i^ è i'q ù ^ fié-sê rèttcôtitre jamais
. aussi considérable dans tous nos blennies.
* 'D. 51; A: 3Ï,- C. M; P. ■
Le tentacule est long, dentelé -sur le seul coté antêrieür f un
très-petit estàü^déVant'de l’oeil. La c ém ^ r }'èst5d’ùn brun pâle,
I ! tacheté de brun plus fônéé sur les1, ’côtés 5 la ‘tête les peçtorales
. et les ventraljes s ^ t phj&foneées. C:
Nous la trouvons déjà dans Flemming^ èt dans'Nilssbn3,
qui l%nt; ^confondue avec lë bUkhitis galeritm\àU"Linïiëi
M.^YÎrell, ,ié6dnnaîssàut l£ùrèrrèw, Tà*pfîsë jiôu'r 'notre
palmicd’riq^mais ^êelui-ci n’a jamais que trente-trois à
rt^bfis tandis qiië sbn 'éspèéè e n c jd q ü à n të
ou cinquantë-ün.
Nous la croyons aussi voisine du ten ta cu le s que dit
palmicorne. Flemming a fai t sa des crip tion sur pn individu
pris sur la côte du Pevpnsbire^ Nilsson l’a vue parmi les
roehes de la Norwege, ou elle atteint six pouces de long,
et où elle détruit les crustaéés et les mollusques.
L’individu figuré par M. Yarell a été pris à Berwick
sur la Tweeds L’espèce doit être rare, car il n’en a vu
qu’un seul individu. IV
IV B rit. fish,j>. sons le nom impropre de ilennius palmicomis. — 2,Flem
An. brit., p. 207, n.* 122. —-j 3. Ichth. ficaùd., g. toi:'"''-'
jLe,J3;LE«^lE PAPILLON, v
'né tfc e lla r is*
pe plus remarquable des blennies,. par la disposition
singulière de Sa d o r s a l e l ’ornement, très--appare_nt dont
»elle est dëçonée^best celui auquel Bélon a primitivement
affectéie nom d e blennttis; ë?estle ^corpiOiWeiy dêBondelet,
le m e sd ro de Salviatn^énfin le b ïen n îu s ü t é ï là r i s de Linné
et d n s é s ^ ’fcceileursy ’’’
C’est aussi l’une des grandes ekppces du genre de nos
meiS'ëâ qui pe le cçdp guère qu^au gattprugine.
. rb Sa tête est très-grosse,, «vmnrije au «plus Quatre fois1 et demie
dans 1$ du corps5 sa hauteur égale sa longjieor., Ses joues
^ï€riflies lui flbnnent ‘ à*‘ peu près lès deux |prs en épaisseur j la
poitfiM un pfeu plus'hautfe; fet ensuite 'Le dbrps dimi-
1 ntfe* par déjgré jusqu’à là base de la 'caudale, où il nVpïûs que
lé Üéfls d’e 'la hauteur de là tête, et une épaissetfr; çùébre de moitié
r ibMttd.rl?jLèi prôfîl jù^ù-à là bôfiéKé fdimtô1 fin quart de ëçrfcle ;
près dédetfti ligne, à son milieu, soht\MyeuX, éUtreieSquels le
’ Frdttt a une CtihfcaVité1 longitudinale 3 le diamètre est de près du
; j- déès'W læ îdhgùëur: bës^pmeÿ p p é rè ïï^ é s 'Sdùï.. ïüspbsces
eotiiriic dans re;gattorügixie. La membrane branchiostège a
elle“ adhéré étà&fteîfctfetit ù l ’isthme ou
plutôt a tb hàiàsànée1# » la 'péii^e':parVsp^jbÔuâ‘; en
w%è#të qùé la fente deS ôhïés£l%èfiÙs d’étlùdhb "Maquè màchpire
1 ? ? a * environ trente-six dents grêles ser rées, et en arrière une çanine
très^pëfntiië ét céôéhùe, forte' ëtv bien.kêpàrêé' tant én;!hàWt dii’en
bas. La partie antérieure de la dorsàlé êst aussi haute quele corps,
taillée en dèmi-ellipse. Le premier rayott est isolé et en filament
sur moitié ou le tier^ fiè sa hauteur 5 le'second est d’un cinquième
et d’un quart plus d’isolé que de courtes
pointes flexibles : leur nombre n ’ést que deoùzê; Le onzième n’a
pas1 le quart de la hauteur dù premier ; mais le_preûkiér des articulés