s©, relève au double d& la hauteur du onzième, et ceux qui suivent la
consëfvent à peu pl^s.-La méinbrane '‘sè^eontinue pour unir le bord
postérieur de là dçrMle .aûjdbs.de larqqeue • jüsqu’aupr.ès de la naissance
de la caudale. Ces ra,yons mo.uasqjtit aujjombre de quinze ou seize.
L’anâle^ cëmiMeècé'wP^èPvi^ le prëmïér#^$lriïfâù à k vbs\h et se
teï,rhiflë'5s'é|i|fl]a-hn dédîa dërààlé. au nbmhïp;ae dixhip;,
siîpt tde moitié^us^quatte quèîceû^^ix ctes;i:les deux lëu
jtK^is^pfentiers sont presque filamenteux. Lit pectorale n’a qnejdeiuze
j-ayons, 1 et neuf
ces rayonsj -soit, épineux,' sqit articulés, tî’oçt„aucune;; ^|Mfiça-
tion, excepté les neuf intermédiaires de là caudale..
læs yentrales sont d’un peu moiés (du sixième de la longueur
totale, Leur WôiSSd&âÿon W troil^re facilement, hiênife avec lé tact
îi/iéJTL ft? e. il - p. 12 i/2‘. -:n
' .I^ç t*$çs à peu près d^?Jajl?a'ujtetqr(i4f la
tête, ,n’a t-w r ;.fè s^ ® t^ (p je , quelques pjstitg blamcns courts.
X<e cojpç; d^cujppiss^i^jest-d’un, cendré*un pemjj;o^§|âj^|p«a
bleuâtre, quelquefois un
fo iren t'i&ËL bandes verticales, qui ^gspendeut .^tç^les .^nqSj en
.^a^aiijMsjsani« iÆà-Çcdsc'ou qua^^ud,en^le/s(.^s’|||^dent Ju||lafc.p^ttie
molle de la dorsale,: et „desçendenj; en traye^s, dp la .qtÉeuèjjjfsqu’à
l ’apa|e. ,L© yeptre e^ ,h j^ c ]^ rq i|a |
brun, surj-.e-crâiiè e^t. une’ ligne hlancdiâtrç|^.<lpiqi^çesgle, la. çpn-
yexifcé dirigé© en avant. La pajçtiè,.épineuse .de la dcg^lerpoÿr^e3||ür
lè sixième ef leseptièiaiede.cexïiayoi^, ^ovaleralus.
ou^pipîps jé^uier, dlsPi ntttr., profond. entouré d’un liséré d’un '
Liane p.uf, ëpt Ôù<,quplqqe£ois, unppint blanchgtrçî se, jb°P:1-î'ei au
milieu. Le reste.de ,cette pageoipe a des, q}i^ges grisâtres mal.prononcés,
L a caT}«fajé , eit,d’un .grâj qoÿtâ|Eg>i# a -quçlfïIMi pojpts’
bruns sqr %es rayons» L’anale., blanchâtre .vers .sa base, a les intervalles
et Jes- ppintes de sç& r^ypns noirâtres,
Nosfp|us grands ip^v^tb^n’ppt)<pie^x ponces.j,.
Lesyiscères ne diffèrent, p^ssensiblçment jd.es précédons ; .le rpâle
a deux groupes de >papU?lçs. .poires, -brillantes,. derrière l’anus.
. . Lé^qi^letteja pii^fjy^i^b’pisi®bdojnibalês et.vingjrdfeüx caudales;
Secrète sagittale_et le&^euxymoïtiés,de la -crête occipital© qui s’y
Réunissent, sont trèsjpppnonCéèA,
Gette.eapèoeiëst trop b^eopcar^tépisée- pour, que sa synonymie
puisse donner lieu à aucune difficulté^ quoique lès
.figures qu’.en ont! données' les .rcKtbyolqgis.tes du. seizième
et du d ix-s ep ti èmc3 i ècle, sjqiéQt toute§ass^jzf;défect'ueuses.
C’sépL.lpvsjcorpioides dès Bon4j?l-Qb (1- VI, ç ,>i©,.p.! ao/^1 );
lé. blerinus dejBëlon {Aq;,} p. 2 219 )rfde iSalviani {Aq-j> p. 217,
Pwc.>tp.-(84$) oét' d’Aidroybnde («p. acf3 jas *
Blqcfi Ta: rmiejixtrpprésentéèl
Ge blennie habite ’to u te jl^ Médiiejirtpiëe^et nous l’avons
reçu de la plupart^e'SPSfpai’agfiS', >dé:T ° u lo n , parM. Déla-
lande^de(Nkfe,,par. 1^1.. Laurilfaïd; de Gênp'srgljde Naples»
pari Î^ j^ â g iîg j- td é ' t§ ifils^£4$ Mj Éib'i|@u, Gejti l’a plàce
e p - ^ a r ^ ig n q ^ i l lu g b b y , qn,a;5v ^ f e a u ç o u p (em automne
s.ur,les marcbqsj^ ^enisejljijmais. à- Romp ,j,sélo'n .Salyfani,
ou en prend, .à p e in é 'd ix dans une annép. ^
Les Languedociens, le .pqmment Ja b r e de m ar, .selon
S p n d e l^ ,. L qs'.Marseillais ïuiâ* d o n n en t, îen. iCommunt;n y #
d’autres b le n n i^ ^ le nqm de bavfiUpe, q u i^ k .Nitey se pro-
nonGe^bavecea?. A lv ic§ ,M .D e Larp p jieja en ten d u appeler
cebqsa« S^oç,,nom rpmain-, àxce,que dr^SgLlviani, est mesoro
$t me^qreK A y e n isp ^ s e lo n MHl,J$açeari?i et Martensf0,
il s ^ p nmrri f^^attpr^sflda AjyspreQ±io\i sffssp|pu d$ mar.
B « ô n d it q u a Zante et à Gorfou les Greps lrappellent cepci
I*." Cette figure, contre Pordinaarê d"e Rondelet, est ia plus mauvaise de toutes;
elle, est copiéçjSe®ner, 8^7^ Aldrpy^j,i6. a - 2'. Çop. de Gesner, p3o. — 3; Qop.
d f i ,^ i | u | ^ % W ^ , i% 1 Ub p , 5. Will., p- t l ^ é f
ayâ.«verso. ■— ,T. lï^sso^Po^,.—7 'é.
9. Giorn'. d ijsic.^ à p p , I I , t.’N , p. 3 ^ . ’ — 10. Voyage à Venise, t. À, p. 4i8,