espèces de l'Océan snspoVte |||jf|| leNord, mais dest Ce
que la confusion qu’èn ont faite jusquà -présent Jes-natu-*
raliStes, île permet pas de déteiminm.; J
Ainsi } Blocb n’àÿàiiit point distinguéiesi espècespil e§§
difficile de dire précisément quel était son >M. cèphalus j
sa 'figure p a r a ît rèssémlîler au il/". çapito yJxiaXs le sOus^Orbi-
taire Jçt lé maxillaire ab sou t Pas mar(îu®s assez;, exacte-
mentf'èt il-'n’as pas: été possible de ,®etrdmyer:^pjdriginal..
Pennant rien nomme qu’une èspècfé parmi lés poissons
anglâisj ét l'appelle toujours ilf. cèphalus.- d’après Sa ligure
on pourrait croire que ©est le M. ùhélô1: Dans sa Zoologie
arctique il se borne aussi 4à^mterpun muge içommun.) par.
opposition an 31. albula* ■ i
| DonOvan2 rèprésente trèsH-bien le clielon, mais il de
regarde comme le mugil cèphalus de Lin^é j il fait d'autres
confusions dans le texte'f car il' crôi^ie vîïïgil albuLa de J a
même espèce qûe le il/, cèphalus y parce quilmapas vû.de
muge ayant;cinq rayonsj^à la. idorsale-p-eë qui «a®*-! empèdbé
pas de copier' Linné m d attribuer;pour OaraicWèio?) .cinq
rayons’ à% ddrsàlmdmsôn muge > qéorqtséflerpeptevmlb
ait représenté qne quéti:ë.h .
La figure que ShfcW3 dénué pour le .commo/r miMletj
qu’il appelle mugil' cèphalus, Lin., est aussi-$ sanstaucun
doute, fifite-d’après le cliélom; ;
i MM. Tnrtort4 ét Flemming- citent-lp mugilcephalàs
parmi leurs iioissôns desdcéfls d’Anglëtferrl', et-s’appuient,
pour, établir leur espèce, des i citations de Pennant: <$i de
DonoMan. 1
1. Brit. Zool., U I, p /288, pl. m , n.° iBtf. L 2. Brit. ~ph, pK l'5 3. Shaw,
Ge«. ioo/.7vôi:T, p.lT4V Bn^fæifîr;fZfS^, n.°'io8r—-5. Hist:
ofbrit. main., p.
4 M.> Gouék1 no caractérise même'pas.soü gpeymuUetÿXe.
tegardan^incdntësta'Mêment'ébmme le mugiî çeplictlus de
Linné: Il n’ajoute -rien, à-sombistoirp', Si ce n’est fcfuëcëtte
me ntion !donue la preuve 1 de l’existencë d’un muge sur; les
cÔtél/dé !Gorriouailles.' -î
Dalefiûomlne ‘ le -mlige parmille^pbissdnSj.d’Har^icIitj
mais-Gfonomus le .dit-déja,rare;,eu Hoilandef-.;Cependant,
qudrque A^ulfen 'r>l:B|®cb^e|lé; citent parmi le^ poissons
dé,-Prusse, ët que/Limminmi^fasse-.pas mention -dans le
Faunasuecica\ -, noûslîyoypps) ées-jrjj oissonsi s’avanqer vers
leùKordfét d épater xla mer d’Allemagne;- cs$, dgj à\Fis ch e r 4
et-.GëdFgiiA;éfit;pIaee'ntj suplesîCp:tes.d^l>-ivoriie.;Mi. Scha-
gèr^tec^ (^-don-n^sous 3lfe nom de piugilJèephàlus, une
-figure, !p<eu« faciler à, recottnai t r e<•;^m-âisî que ngus ^croyons
être1 icelle?id’un.chéiènÿp®ur représenter un muge (pris sur
lés i|QÆeside'-Nbnvégey au.môis-d’jAout rd^8^M<iNilson7
considère? cette îfigure comm/^jéjtanfe celle d’un muge.,-qu’il
ë'Roithëire ucÉre capiton; il y. jçappérte aussi |celjd; dé Pen-
nân E ÿ- à e.,iqui ! nous confirmerait' .dans l’opinion qiie - nous
venons dlémettreyf c’est-à-dire, que i^es, muges ..étaient dé
l’égpè'cë du chélon; il les fega-rdé comme rares dànS.Ja mer
"dû WArd, et ne visitant les^cotésl de la presqu’île -sçandi-
navé^rfè pâr suite de migratio^Uuefb4nde.(ie)Çes muges
s’aVança de l’Atlantique^ dans la mer Baltique et sur ' les
côtes dowforwégé, au mois d’Août 1 8 3 8 , et fournit à- ces
deud observateurs, les individusfdout il OSt ici question. Je
vois; aussi le mugil cèphalus cité dans le catalogue1 mauusr
1 . Transi^ / ^ ^ ^ t , , JO V j ,p a r f . 1 .” , p. 2jS. _ 2 . Hist. o f Hanmch, p„.$3o.
M. il- 4/ffik‘ÆèryÏÏ|sî. ■4i«^'d(5î ïârli^è, p. ’26$.
■5. éèdrçii, bescr. m ; 7 Ie^àrt.,_p.> i |% . —&..&% ! tic rf. Hdndl^
Ï 829, p- S0» tab. fig. 1. — T. Prod. ichth. scand., p. 69.
1 1.