de celle du poisson. Les ventrales, de la même.longueur et jugu-
lairés comme. dans*|ous les Llennoïdc^ j.^sojot grêl,e§, ,et pointues ;
il n’j paraît que^deux rjÿyonëi;
lairessjy marquént sensiblement. !
Dans la liquemri eëïpeSsonp^ptt bmn -à sa partie supérieure, gris
~ argenté àjBinférieure.- ides deux-téint'es sont séparées par uneband e
longitudillïe d’îu&brunl p.Hi§tl@fi&ési qui va $8jjnqsespi ®
( .l’oeil, et regrettd^ï la tempe,' 0% dietest li^éi^qidqltiq^:,;.^ se,^on-
tinnerèn se,perdant le fnllieq. d u c o r p s . '£|p|§iJ*gefi|rée
» règne ;Sûr jle^Q§ÿe lpngt dtiJa A^%de 1^ ,dp^ale^e&r,q9g^p^es
) veçticales ^ont' noirâtres;.' l’anale .a les. pointe* dej spsfcraynns, gt la
. (esuidale sesifaords supérieur etinfêrieur, blancs. Lee- q^fitb-rales |f nt
jalsii§[tres',: transparentes ^ étalés. ye|tti^les^lan^|Jtrp|n^.( |
L’indiyidtf 'n’a que deux pouces (îe longueur; ^
MM. Qifoÿ ë fG a im k rd jq u fo n t pris cë:pèêssbusMa'N<ni-
v e lle-G u in ee danà'lanfcate H um b o ld t , :ld i2'&bû£>Ii827,
nqiîs dirent q u p la bande 16ngitudinal,e'fes^îbleue.
Nous . trouvons un,et7 description tres - exacte de ‘ ©gîte
espèce,.dans les ^ a p ^ / ^ t s d e ^ ^ a u d e ç ^ il l’appelie bîçn-
nius rostratus, et^soupçoune q u e c’est peqt-êjjre u n genre
nouveau.
’ Selon lui} darfs le frais} le dos» est' olivâtre»; un>îpéuJloBé;
la-K^riè ‘q u f s u it^ p a s e ^ S ^ lâ ddrièil^ètst bleüêÿ éüssï-iifen
que la b an ue^âtëralè^f '
Il l’a entendu nqminer «tè-/iù^a^ niais iÏTië d it pas dans
q u e llfjile ^ n
. L e B^S^ÉCHiS^nE DusâbMiEir.
. . {Blennemis Dussuiwieri. ) ’
! Unë é%dôtfdev%IPëëé' fappOTtëS0^ la
rade up l’ile 1 de
Son.pfofil.est.un peu plus bombe, et son* m^ëau ùri peu plus
court; ses incisives sont plus petites et plus nombreuses; on en
compte vingt ou vingt-deux en bas, et au moins trente en liant,
dont celles* qui répondent à la grande canine inférieure sont plus
courtes. Cette canine est aussi grande et aussi recourbée en arrière
que celle'de l’espèce précédentfe : il y en a aussi en haut une très-
petite. L ’ouverture des ouïes est la même.,
La dorsale .est continue, à peu près d’égale Hautedî et sans rayons
libres. J ’en compté en tout près dè quarante, mais je n’ose répondre
absolument dé ce nombre. L’individu, long seulement de vingt lignes
et probablement très-jeune, était trop frêle. 3 ès couleurs ressemblaient
a pelles de la première espèce : une ligne bleue le long de
la dorsale, et une bande bleue, depuis le bèut du museau jusqu’à
la câudàlejle lWa du milieu du corps ; le feds ëst verdâtre et a
sa bande argentée. *
L e B l e n n ë c h i s a t è t e c o u r t e ^
{Btennechis breviceps, nob.)
M. Dussumier a pris un troisième bleufieehis au Bengale.
Gdui-ci se distingue au premier coup d’oeil par sa tête courte
et large, qui n’a en longueur que ïnoitié en sus de sa hauteur,
et Idont l’épaisseur est des trois quarts de cette Hauteur. La Hauteur
aux pectorales est quatre fois et deux tiers dans la longueur
totale, et celle de la tête quatre fois vm quart. L’ouïe ne s’ouvre
que par un -trou assez petit au-dessus de la basé de la pectorale,
f l y a trente dents en bas et autant en Haut, toutes très-régulières
et serrées, avec une très-petite canine dans'le Haut. Quant à icelle
d’en bas , é le est très-grande, mais moins recourbée que dans les
deux premières espèces;aussi entre-t-elle, quand la bouche se ferme,
dans un trou du palais. La dorsale ne continence qu’au-dessus de
l’ouïe ; d ie est continue, égale, et atteint la base de la caudale ;
on y compte trente rayons et dix-neuf à l ’anale.
Ce poisson paraît d’un gris roussâtrë avec une large bande longi-
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