portant cinq ornements quadrilobés et terminée par des bouquets de fleurons.:
>î- xpec> ï viHetim 8 xpoe’ s rk g hîo t ï xpcc> 8 ih p 0 rtüii s
. O r . ( , r 3 ^ 8 0 . fO'’. 6 . de num.f 1 8 7 0 , p . 6 6 , et p l. 1, n* 1 .
Coll. Plat et du V'* de Jongtic.
Variété : * IIjS • DSI • GR2S • 0PS-D0OD • - 2 • CCOM0S • JÜOSS0N
— * XPS • VIHdim • XPS • RSGN7îm • XPS ■ IMP0R2OT •
De R e n e s s e , p l. X , n ° 2 , d 'a p rè s le s a n c ie n s ta r ifs .
Écu, dil klinckart ou clinckarl, copié sur celui de Jean de Bavière (n° 27 7).
L’ordonnance imprimée à Anvers, en 1 5 j 5 , appelle celte pièce un florin
de Liège, Luyckschen gulden; mais il est bon d’observer que le mol gulden,
dérivé de gold, or, s’appliquait autrefois à toutes les monnaies d’or en général.
Dans la carte de 1 6 3 3 , pour les changeurs, le clinckart de Jean de
Heinsberg est évalué à raison de 1 3 carats 1 0 grains j le litre en était donc,
comme d’ordinaire, un peu plus élevé.
■ Celte pièce est déjà signalée dans le numéro de VEsprit des jou rn au x du
mois d’octobre 1 7 7 8 (p. 2 4 6 ) , comme existant chez un « curieux distingué »
de Liège.
502. Griffon assis à gauche, tenant l’écusson écarlelé de Heinsberg : 'î' IO Î jS ’ ï D S I
x G R 7 Ï ’ 8 S P C ’ x I iS O D P x 2 x G O M 0 S x D O S S 0 H S I S
_ Croix feuillue, ayant au centre une rosette dans un encadrement formé de quatre
arcs alternant avec autant d’angles saillants. Entre les bras de la croix, quatre
lions semblables à ceux de Juliers : o t SIW x H O M SH 8 DOMIHI x B 0 H 0 -
D i em W M ï iH x s w ’ s
Oa — G r . 3 8 0 . C o ll. de la ville de Liège et de M. Piat, plus un troisième
exemplaire vendu en Hollande. — Un exempt, à fleur de
coin, 8 1 0 fr., vente De Coster.
A l’exception de la rosette centrale du revers, le grand griffon de Jean
de Heinsberg est encore une imitation de celui de son prédécesseur, Jean de
Bavière.
303^ Dans un encadrement de huit arcs trèflés, busle nimbé de saint Pierre, de face,
tenant une clef de la main gauche et un livre'de la droite. Devant lu i, un grand
écusson écarlelé de Heinsberg traversant la légende : ❖ x IO ÎjS 8 D S I x
G R R 8 - « S P S 8 J 7 SO D 8 Z 8 D O S
— Croix feuillue et fleurdelisée, ayant sur chaque bras un ornement quadrilobé;
au centre, une roselle : P 2 ÏX 8 X P I 8 M 2 ÏH 0 2O T 8 S 0 M P 0 R 8
HOBISCCVM '.
Oe. — Gr. 5,44. Coll. du séminaire de S*-Trond.
Le piètre de Liège est mentionné dans un édit de 1 4 4 3 i . C’est une copie
du peeter d ’or brabançon de Philippe le Bon.
304. Ange assis de face, lenant devanl lui l’écusson écarlelé et incliné de Heinsberg :
* I O I V 0 S 8 0 P C C ’ 8 D 0 O D I 8 DV24 8 B V D G V 0 ’ (var. B V D O V 0 ’ ) 8
eC O S I iO S S ’
— Ecusson écarlelé de Heinsberg sur une croix feuillue : 4« MOI20W2Ç 8
I 2 0V 2 Ï 8 P2ÏCOT7S 8 IR 8 t y 2 S S S 0 D ’ (var. h ’ * ).
Or- — Gr. 3,48. Coll. de l'auteur, etc. — De très beaux cxempl., 76 tlor.,
vente Micbiels; 340 et 370 f r . , vente De Coster; 7 0 fr.,
vente Dugniolle.
Variété portant correctement BVIiOR
D e R e n e s s e , p i . X, n ° 4 .
L'ange de Heinsberg était appelé quelquefois angle, ou improprement
angelot (cri de 1 5 2 2 ).
D’après le tarif de 1 6 3 3 (Anvers), les changeurs devaient payer celle
pièce à raison de 1 6 carats 6 grains.
305. Demi-ange aux mêmes types, avec celte différence que la partie supérieure de l’ange
traverse la légende : x - x lO f j S S s f l P » 1 2 0 (sic) *D V 2 1 * B ’* CC’x l iO ’ - x
— * MOI20IH3Î ï I2 0V 2 ? î FTÏOEWTÏ î tyZ S S© ’
O r . — Gr. 4,67. Coll. du V,# de Jonghe e t de M. Piat.
306. Dans un encadrement de trois demi-cercles alternant avec trois angles saillants,
écu portant une croix chargée en coeur d'un écusson coupé, en ch e f à un lion
1 Amplification du salut des Hébreux : Pax vobis. On trouve dans le rituel : P a x Domini
sit semper tecum.
1 Simonon, Traité de là réduction des rentes, p. 89: