|— Croix paltée, anglée de quatre fleurs de lis : ^ SÏ2OI20IT2Ï î LVDO $
0 L 0 G T I | L 0 O I 2 '%
B. N. Rcv. b. de num., 1855, pl. XVI, n° 30.
Quelques variétés, dont une en cuivre jaune. Un exemplaire saucé existe au séminaire
de Saint-Trond.
Autre avec €CPS (?), par conséquent plus récente.
D e R e n e s s e , p l . XV, u° i l .
564. Mêmes types : # L V D O V I 0 V S i 0 L 0 W V S . . . . . 12
' — . fI 2O I 2 0 IM ï ô I 2 0V 2 Ï l F 2 ïa rH K :T j 2 t S S . . (Rassoit).
B. N. Coll. du séminaire de Sl-Trond.
565. Écusson de Bourbon : % LVDOVICtVS l 0 P S !o L 0 O D I 0 I 2 S I S
— Croix panée et cvidée, ayant au centre une fleur de lis : G2 0 I2 ’,> I2 0V 2 Ï 5
p k g w k i i n % ^ r o s s a i t ®
B. N . CF. d e R e n e s s e , p l . XV, n ° 4 2 .
Nombreuses variétés, dont quelques-unés en cuivre jaune.
■ Un exemplaire plus épais, dans la collection Piat, parait être un pied-fort. •
5 66. P e tit brûlé aux mêmes types : <§> LVDOVICtVS 5 0 P S S L 0
— $ SI20I2 ; X20V7Ï l P.eC7S S 1X2 °o I (!}? )
B. N. Coll. de l’auteur.
367. Écusson de Bourbon : $ S IiVDOVICCVS S « P S ’ 2 I i « O D I « i r S
, Croix évidée avant au centre une fleur de lis : £PO K « n fl7 î FCCTOÎ x IR x
C CVRIRG«
. B. N. Qf. Æew. b- de num,,, I85S, pl. XVI, n° 33.
Nombreuses variétés, parmi lesquelles un pied-fort dans la collection de M. le
Dr Bamps.
M. Perreau (n0 4 8 ) mentionne un autre denier noir de Curange ayant le
même type au revers, mais où les armes remplissent le champ. Celte différence
n’est probablement qu’apparente et provient sans doute de ce que le
contour de l’écusson a été effacé.
368. P e tit brûlé aux types du n” 365 : f LVDOVICCVS » S P S » L aO D I
— “P U2 K* H o m m a - r DOSI2IX2I <T 2S (amen).
B. N. " Coll. de la ville de Liège.
569. Autre aux mêmes types : <§> LVDOVICCVS « a P S » L 0 O D I 0
— * n i * D om in o * a o n * p i * do
b- N- Coll. du séminaire de S'-Trond.
GUILLAUME DE LA MARCK, mambour, 1 4 8 2 - 1 4 8 4 .
Armoiries : écarlelé : au 1" el au 4” de la Marck au lion issant de gueules; au 2* el au 3*
de Virnenbourg, qui est d’or à sept losanges de gueules.
Guillaume de la Marck, surnommé à la Barbe et le Sanglier des Antennes,
seigneur de Lummen ou Lumay, d’Aigremont, e tc ., avoué de Hesbaye,
était le troisième fils de Jean, sire d’Arenberg et de Sedan, et d’Anne de
Virnenbourg.
Le lendemain du meurtre de Louis de Bourbon, le Sanglier se fil conférer
le titre de mambour de la principauté; il obtint ensuite, des chanoines restés
à Liège, l’élévation de son fils, Jean de la Marck, à l’épiscopat (1 4 septembre).
D’un autre côté, la majorité du chapitre, réunie à Louvain, partagea ses voix
entre Jacques de Croy et Jean de Horn.
A partir de ce moment, une guerre épouvantable entre le mambour et
l’archiduc Maximilien d’Autriche, l’adversaire de Louis X I, porta la désolation
dans le pays. Vaincu à Hollogne-sur-Geer, le 9 janvier 1 4 8 3 , puis
déçu de son espoir de faire agréer par le pape l’élection de son fils, Guillaume
conclut à Tongres, le 21 mai 1 4 8 4 , un traité par lequel il reconnut Jean
de Horn pour son prince légitime.
Cependant, le Sanglier n’ayant pas tardé à reprendre ses:allures tyran