rosette. Dans les ang les, le lion de Heinsberg alternant avee celui de Juliers :
* m o n | e r a s s a i o m m | o s s e ’ s
A. — Gr. 0,70. Cab. de l'Étal belge. g— 85 f r . , vente De Costcr.
Variété un peu plus grande : db IOIy c oe i ri GR7V’C e P S ’i- I . 0 O D D V X = B "1
— * m o a i r r ï ï s n o | v r c s a o | mtws
Gr. 0,68. Coll. de M. Piat.
Celle charmante monnaie, diminutif des vierland er de Philippe le Bon,
a été frappée par Jean de Heinsberg en qualité de comte de Looz. C’est probablement
un de ces anciens quarts de palard dont il est fait mention dans
l'édil de 1 4 8 7 «. .
3 18. Écu écarteïé de Heinsberg : rb IOby ° 0 P S ’o I.GiODIHin ’° O V K o BVI.’°
— Croix patléc : db S R O R eT T Ï o ROV7Ï l SK RW IS P S T R I i
B. — Gr. 0,57. De Rénesse, pl. XIII, n® 44.
Coll. de l’auteur, e tc .— Un très bel cxcmpl., 42 flor.,
vente Michicls.
Vlieguyl ou vleguil frappé en vertu de l’ordonnance du 8 février 1 4 5 0 .
5 1 9 . Écu écarlelé de Heinsberg. Sans légende.
— Croix pallce chargée en coeur d’une étoile à cinq rais. Sans légende.
B. — Gr. 0,55 (pièce ébréchée): V a n d e r Cnvs, De munten der lecncn van Braband
en Limburg, p. 470, et pl. XXXIII, n® 5,
Coll. de M. Dumoulin.
Heller ou quart de vlieguyl conforme aux instructions de l’ordonnance
de 1 4 5 0 .
5 20. Écusson écarlelé de-Heinsberg snr une croix patlcc coupant la légende : db (?) 1 0 ’
§ d i e tiin | s b ’ s ccp i i t s o o î
. — Perron snr trois degrés : m O R QW T Ï t R O V 2 Ï î F 7V a ’ ï I i S O D i a ’ î
B. N. Coll. de la ville de Liege (var.) et de l'auteur.
Autres variétés : Pemieau, Catalogue, etc., n”' 57 et 38.
t De Ram, A nalecle s, p . 823,
A partir de Jean de Heinsberg, on trouve les deniers noirs généralement
désignés sous le nom de brûles, qu’un chroniqueur traduit en latin par
blulardi. D’après du Cange, ce mot provient de la couleur particulière aux
monnaies de cuivre et équivaut à rougeâtre *. Il y avait des bons (grands)
et des p etits brûlés. Quelquefois on les appelait miles, comme en Brabant
(cri de 1 4 9 4 ) .
Le grand brûlé au perron, rare pour Liège et très commun pour Ilasselt,
a fréquemment servi aux imitations frauduleuses des petits seigneurs, parfois
même sans l’introduction du moindre changement dans les armoiries.
321. P e tit brûlé aux mêmes types : db 1 0 ’ $ D % (var. D ’ $ ) 1 ^ 0 |I R ’ % 0 £ | I i 0 O ’ î
— ÎR O R 0W 7 Î ï K O ’ % P2ÏCC’ % I 16COD’ î
B. N. Rev. b. de num., 4855, pl. XVI, n® 24.
522. Écusson écarlelé de Heinsberg sur une croix coupant la légende : db 1 0 ’ * D | 0 î
I . . 0 P | î H 0 O D ’ î
— Perron entre les écussons de Juliers et de Chiny : ÎROR0rP7C R0V7V {
P 2 ï a ’* I iS O D ieC ’ *
B. N. Rev. b. de num., 4855, pl. XVI, n® 52.
.Coll. de la. ville de Liège.
525. Écusson écarlelé de Heinsberg : db IO b jS S : 0 P V S : L 0 O D I 0 R S I S
— Buste de face de saint Lambert nimbé, revêtu du superhuméral : -b fR O R 0 iP 2 ï :
I 1 0 O D I 0 R : Z : DOS
B. N. Rev. b. de num., 4855, pl. XVI, n® 29.
Coll. de la ville de Liège, du V,e de Jonghe, de M. Piat
e t du comte de Robiano.
324. Écusson écarlelé de Heinsberg sur une croix coupant la légende : IO h S I 0 P V S |
ït a o o l i e n s ,
— Buste de saint Lambert comme ci-dessus : db M O R eW îï : 0 P I : I I 0 O D I 0 R
B. N. Reo. b, de num., 1855, pl. XVI, n° 28.
Coll. de l’auteur, etc.
B lu la rd i, Minutions monetæ genus, f. a colore sic dicta, Gall. Rougeâtre, quod monetæ
cupreæ convenit.