les trois orifices des cellules, qui fervent chacun à
un Polype.
L a Figure 9 repréfente un bouquet de Polypes à
pannache, de grandeur naturelle, attaché à un morceau
de bois a b , par la bafe cd du Polypier. Cette bafe cd
n’ell qu’un amas de la matière qui a fervi de cellule
aux Polypes, mais qui n’a plus cet ufage, depuis que
le Polypier s’eft augmenté & allongé. On trouve
fouvent des Polypiers qui n’ont point de pareille ba*
fe. p , p , p , pannaches de grandeur naturelle, i e,
corps d’un Polype de grandeur naturelle, r , r ,
jeunes Polypes de grandeur naturelle. On voit, outre
cela, dans cette Figure, que le Polypier qu’elle
repréfente, a commencé à fe partager en trois branches,
dont l’une efl; prette à fe féparer entièrement
des deux autres.