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1 8 4 INSECTE S HYMÉNOPTÈRES.
LES PALARES,
tPALARUS. Lat. — Gonius. Jur.)
Dont les antennes sont très cour tes , vont en grossissant ; dont les yeux
sont très rapprochés postérieurement et renferment les yeux lisses, et où
la seconde cellule cubitale est pétiotée (l).
LES LYROPS,
(LYROPS. Ilig. — Liris. Fab. — Larra. Jur.)
(Pl. lar, fig. 5.)
Dont les antennes sont filiformes, où la troisième cellule cubitale est
é t r o i t e , oblique, presque en croissant , et oii le côté interne des mandibules
offre une saillie en forme de dent (2).
LES LARRES,
(LAEEA. Fab.)
( P l . 121, Cg.6.)
Qui ne diffèrent guère des lyrops que par leurs mandibules sans dents
a u côté interne, leurs yeux également dlstans.l'un de l'autre, et leur
raétathorax el leur abdomen sensiblement plus longs (3). .'
Là, les ailes supérieures n'ont que deux cellules cubitales fermées,
recevant chacune une nervure récurrente.
LES DINÈTES
{DINETUS. Jur.)
(Pl. 121. fig. 7.)
Ont les deux cellules cubitales sessiles. Les antennes des mâles sont
( i ) ro)-ez Lalr., ibid.; et ses Consid. (a ) Lalr., ibid., 71
général, sur l'ordre des crust. , des a rachn. (3) Lalr., ibid., 50
et des insccl>
FAMILLE DES FOUISSEURS. 18 S
moliformes in fé ri eu r eme n t et filiformes ensuite. Les mandibules ont
trois dentelures an côté interne. La cellule radiale est appendicée (l).
LES MISCOPHES,
(MISCOPHUS. Jur.)
( P I . lai, lig. 8.)
Où la seconde cellule cubitale est pétiolée et dont la radiale n'offre
point d'appendice. Les antennes sont filiformes dans les deux sexes. Les
mandibules n'ont au plus, au côté interne, qu'un faible avancement (2).
6" Viennent maintenant des fouisseurs, dont le labre est pareillement
caché intégralement ou en grande partie , dont les mâchoires et la îôvre
n e forment point de t rompe («), qui n'ont point d'échancrure a u côté infér
i e u r des mandibules (¿), dont la tête est de grandeur ordinaire, et dont
l'abdomen est triangulaire ou ovoido-conique , se rétrécissant graduellement
de la base à son extrémité, et jamais port é sur un long pédicule.
Leurs antennes sont filiformes, avec le premier article peu allongé (c). Ce
s o n t les NYSSONIENS.
Les uns ont les yeux entiers.
LES ASTATES
(ASTATA. Latr. — Dimorpha. Jur.)
( P l . 122. fig. I.)
Ont trois cellules cubitales fermées, toutes sessiles , et dont la seconde
recevant les deux nervures récurrentes; la radiale appendicée , l'extrémité
des mandibules bifide, et "les yeux très rapprochés supérieurement
(3).
LES NYSSONS,
(NYSSON. Latr., Jur.)
(Pl. 122, fig. 2 « 3 . )
Dont les ailes supérieures ont aussi le même nombre de cellules cubi-
( i ) Latr. , Gener. crust, el insect. , lY, (2) Latr., ibid., item.
(3) Lat r . , ibid., 67.
{a) Pl. 122, fig. 1 h, 1 ( Í ) Pl. 122, Cg. (o) Pl. 2, fig. :
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