
 
		i l i i ' W f í f f i  
 l i t ,  
 «O''  INSECTES  DIL'TEKES.  
 L E S  DKYMEIES,  
 (DRYMEIA.  Meig.)  
 (i-i.  1,3,  Ce.,.)  
 Dont  la  t rompe  présente  ce  caractère,  et  où  les  yeux  sont  réunis  postérieurement  
 dans  les mâles  (I).  
 Tant6t  l'abdomen  de ces  individus  est  renflé  au  bout  et  forme  la  massue.  
 L E S  CQENOSIES.  
 (COENOSIA.  Meiij.  -  ,)I„sm.  De  G.)  
 (  i'I.  l;8  ¿/i,  (iy.  I.)  
 De  Géer  nous  a  donné  riiistoire  d'une  espèce  de  ce  sous-genre  (  Musca  
 fungorum,  Insect.,  VI,  89,  v,  2-7  )  Sa  larve  vit  dans  les  champignons,  
 et le  plus  souvent  dans  ceux  que  l'on  mange.  Il  a  observé,  fait rar e  parmi  
 les diptères,  que  ces  larves  s'entre-dévoj-ent  (2).  
 Les  autres  ont  des  antennes  plus  courtes  et  à  soie  simple  (l).  
 Les  yeux  des  mâles  sont  réunis  postérieurement.  La  bouche  est  très  
 velue.  
 L E S  ERIPHIES.  
 (ERIPHIA.  Meig.  )(3)  
 (IM.  178  bis,  fig.  2.)  
 Notre  troisième  division,  celle  des  hydromïzide.s  {Hydromyiidcs),  3  
 pour  signalement  :  tête  presque  en  triangle,  avec  les  yeux  très  saillans;  
 un  museau  ou  mufle  renflé,  voûté;  une  petite  lame  cintrée  rebordant  le  
 haut  de  la  cavité  buccale,  qui  est  très  grande;  la  trompe  très  grosse;  les  
 côtés  de  la  face  sans  soies.  Les  antennes  sont  insérées  près  du  front,  in- 
 (.)  ro/ «  Mdg.  
 (1)  Idem.  
 (o)  PI,  158 i/.,,  lig.  
 (3]  Idem,  
 (í)  PI,  i-i-ibi,,  fie-3«  
 EAMILI.E  DES  ATHÉRICÈRF.S,  
 cliuées,  fort  courtes,  avec  la  soie,  le  plus  souvent  plumease.  Les  ailes  
 sonl  couchées  l'une  sur  l'autre.  Les  pattes  sont  fortes,  avec  les  cuisses,  ou  
 du  moins  les antér ieures ,  renflées  dans  plusieurs.  
 Toutes  les  espèces  indigènes  vivent  dans  les  lieux  aquatiques.  
 Les  unes  ont  toutes  les  cuisses,  ou  du  moins  les  antérieures,  renflées ;  
 la  soie  des  antennes  est  toujours  velue  (!}.  
 L E S  ROPALOMÈHES,  
 (ROPALOMKRA.  Wied.)  
 Dont  toutes  les  cuisses  sont  renflées,  et  dont  la  face  présente  antérieurement  
 une  élévation  ou  tubercule  ''2).  
 L E S  OCHTÈRES.  
 ( O C H T E R A .  Lat.  —Musca.  De  Ç,.—  Tei>hrilis.  Fab.  —  Mncrochira.  Meig.)  
 (PI.  178 i/i, fig. 3.)  
 Dont  les  deux  pieds  antérieurs  ont  les  cuisses  très  grandes,  comprimées, 
   dentelées  en  dessous  ,  et  íes  jambes  arquées,  pouvant  s'appliquer  
 sur  la  tranche  inférieure  de  ces  cuisses,  et  terminées  par  une  forte  
 épine  (3).  
 Les  autres  Hydromyzides  n'ont  point  les  cuisses  renflées.  
 L E S  EPHYDRES,  
 (EPHYDIÎA.  Fall.)  
 (l'I.  17« iw.  fig.  4.)  
 Semblables  aux  Ochtèi-es  par  la  saillie  de  leurs  yeux  ,  qui  débordent  en  
 a r r i è r e  la  léte,  par  leur  gros  mufle,  mais  dont  la  soie  des  antennes  est  
 (1)  Les alles oflVeul aussi quelques  difl'c-  (3)  Lall,,  Gener.  crusl.  el  insecl.  ,  
 renc«rs.  IV,  3'17.  
 (i)  Wied.,  Anal, eiiiom.  
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