iïi: '
¡11 '
l i i h
II.;- .
S8 INSECTES HEMIl'lÈHES.
LES LYCÉES,
( L IG^US . Fab.)
(PI.90, fig. 4.)
Où lalète est plus élroile que le corselet, et où celui-ci est plus élroilen
devant et Irapézoïde.
I,e L. croix de chevaUer\Cimex eyjiCîiris, Lin. ; Wol f . , Cimic., 1, III,
24) (s), long de cinq lignes, rouge, 5 taches noires, avec la portion
membraneuse des étuis brune , tachetée de blanc.
Le L. dtmi-aiU (C. nptcrus, Lin.; Stoll., Cimic., II, xv, 103), long de
q u a t r e lignes, sans ailes, rouge; la téte, une tache au milieu du corselet
et un gros point sur chaque étui, noirs; l'extrémité de ses étuis tronquée
ou sans appendice membraneux. Très commun dans nos jardins.
Ou le trouve, mais très rarement , avec des ailes.
Les espèces à cuisses antérieures renflées, forment le genre pacht-
MBHE(i)ùe MM. Lepeletier et Serville, dénomination déjà employée et
qu'il faudrai t changer (1).
LES SALDES,
(SALD.4. Fab.)
(Pl. 90, Bg.6.)
OÙ la têle, mesurée dans sa plus grande largeur, est aussi large ou plus
large que le corselet, et a souvent les angles postérieurs dilatés, avec de
gros yeux, et donl le corselet, est presque de largeur égale, et carré (c)(2).
I.à , la têle est ovoïde et rétrécie postérieurement en manière de cou.
LES MYODOQUES.
(MYODOCHA. Latr.)(3).
(Pl. 90, Cg.
Nous voilà arrivés aux Géocorises longilabres, dont les antennes, com-
(1) yoj . Fabliciiis, etLalr.,í¿íW., ii.l2£.
(2) Les Saldes ; aira, alhipcfinis, griiloidis
(3) Foyez Lalr., ihid.,- et rEncyclop
mélliocl.
de Fal).
(a) Pl. uo. i!r. 4. W u"' "e-