des dents fossiles de bufonite pour des dents de dorade5
et* comme cette erreur peut être de quelque importance
relativement aux conséquences que le géologue
tire quand il compare la patrie actuelle d’une espèce
de poisson avec les pays où il trouve des dépouilles de
cette même espèce , j’ai désiré que le nom du spare
dont la conformation pouvoit entraîner une méprise
fâcheuse, indiquât l’attention avec laquelle on doit
observer tous ses traits ; et je l’ai appelé bufonite par
allusion à un des noms donnés à ces molaires fossiles
* 5 rayons à la membrane branchiale du niphon.
14 à chaque pectorale.
6 à chaque thôracine.
16 c à la caudale!
i 3 rayons à chaque pectorale du spare demi-lune.
10 rayons à chaque pectorale du spare holocyanéose.
12 à la nageoire de la queue.
13 rayons à chaque pectorale du lépisure.
17 ’ à la caudale.
11 rayons à chaque pectorale du bilobé.
21 à la nageoire de la queue. '
7 rayons à chaque pectorale du spare cardinal.
0 à chaque thôracine.
i 3 à la caudale.
9 rayons à chaque pectorale du bufonite.
6 à chaque thôracine.
20 à la nageoire de la queue.
i i rayons à chaque pectorale du spare perroquet,
29 à la caudale.
de la véritable dorade, qui diffèrent à peine de celles
du spare dont je publie le premier la description.
Au reste, les pectorales du bufonite sont alongées
et très-pointues; et chacune de ses narines a deux
orifices inégaux en grandeur.
Le perroquet a, comme le bufonite , les pectorales
pointues ; sa dorsale est d’ailleurs basse et alongée.
T O M E t f f 19