particulièrement dans le golfe de Gascogne, dans la
Manche ou canal de France et d’Angleterre, et dans
Zee snoeck , par les Hollandois.
Perea punctata. Linné, édition de Gmelin.
Persègue loup. JDaubenton et Haüy 9 Encyclopédie méthodique.
Id. Bonnaterre, planches de VEncyclopédie méthodique.
Mus. 'Ad. Frid. 2', p. 82 *.
Gronov. Act. TJpsal. iqSoyp. 3ç , 4 .
Perça radiis pinnæ dorsalis secundæ i 3, ani 14. Artedi, gen. 41 , syn. 69.
Sciène loup. Bloch, pl. 3o i.
A«€p«|. Aristot. lib. 1 , cap. 5 ; lib. 4 , cap. 8 ; et lib. 5 , cap. 9 et 10.
Id. AElian. lib. j y cap. 3o , p. 36; lib. 9, cap, 7 ; //2>. io , cap. 2 ; et
lib. 16 , cap. 12.
Id. A then. lib. y ,p . 3io , 3n ; et lib. 14 , p. 66 2.
Id. Oppian. Hal. lib. 1 ^ p . 5 ) et lib. 2, cap. 34, 58.
X.upus. Owe?. Zfa/. v. 23, 38, 112.
Id. Vàrroy Rustic, lib. 3 , cap. 3.
Id. P lin* lib. 9, cap. 16, 17 , 5i , 54; et lib. 32, cap. 2.
PFotlony lib. 8 , cap. 1 7 2 ,/b/. i 55.
JjOu p. Rondelet y première partie y liv. 9 , chap. 6.
Salvian. fo l. 107, 5. 108, 109.
Gesnery p. 5o6, (germ.) /b / . 37 , £.
Aldrovand. lib. 4 , cap. 2 , p . 491,492.
tTonston, lib. 2 y tit. 1 , cap. 2 , /cô. 9 f g . 3*
JVillughbyy p. 271.
Pay. p . 83.
Spigola, «Vc lupus. P . Jov. cap. 9 ,p . 64.
3 Centropomus undecim-radiatus.
Sciæna undecimalis. Bloch y p l. 3o3.
3 Centropomus Plumierii.
Sciène striée, sciæna Plumierii. Blochy pl. 3o6.
4 Centropomus mullus*
le golfe Britannique. Il devient grand ; et selon Duhamel
, on en prend quelquefois auprès de l’embouchure
de la Loire qui pèsent jusqu’à quinze kilogrammes.
Il se plaît dans le voisinage des fleuves et des grandes
rivières ; mais il ne s’engage que rarement dans leur
lit. Il a la chair très-délicate; et par conséquent il doit
être très-recherché. Les anciens Romains le pajoient
très - cher ; ils le comptoient, avec la murénophis
hélène, le mulle rouget, l’acipensère esturgeon, et le
muge qu’ils nommoient myxo, parmi les poissons les
plus précieux. Ils desiroient sur-tout de montrer sur
leurs tables, et dans leurs festins les plus splendides,
les loups que l’on prenoit dans le Tibre, entre les
deux ponts de Rome. Cependant on a toujours dû
préférer, suivant Rondelet, ceux de ces poissons qui
vivent auprès de l’embouchure des fleuves à ceux qui
remontent dans les rivières, ceux que l’on trouve dans
les étangs salés à ceux que l’on prend auprès de l’embouchure
des fleuves, et ceux que l’on rencontre dans
la haute mer à ceux qui ne quittent pas les étangs
salés. Au reste, Pline nous apprend que les anciens
gourmets de Rome et de l’Italie attachoient moins de
prix aux loups ordinaires qua ceux qu’ils nommoient
laineux (lanati) à cause de leur blancheur, de la mollesse
et vraisemblablement de la graisse de leur chair.
, C’est auprès des endroits où les rivières se jettent
dans la mer, que le loup dépose ses oeufs, quelquefois
deux fois par an. Ces oeufs ont été souvent employés,
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