■ son séjour. On en a pêché de plus de trois décimètres
de.longueur, et d’un kilogramme de poids *.
Ce spare fraje communément en automne. On le
trouvé fréquemment sur les bas-fonds, où il est attiré
par les plantes marines dont il aime„à se nourrir, et
vraisemblablement par les mollusques, qui doivent lui
donner l’odeur fétide qu'il exhale. Il mange aussi des
végétaux, terrestres ; et on le prend facilement en garnissant
un hameçon, d’un morceau de citrouille ou
d’autre cucurbitacée. Pendant l’hiver il se retire dans * 1 6
* 6 rayons à la membrane branchiale du porte-épine.
16 rayons à chaque nageoire pectorale,
i rayon aiguillonné et 5 rayons articulés à chaque thoracine.
1 6 rayons à la caudale.
6 rayons à la membrane branchiale du bogue.
9 rayons à chaque nageoire pectorale.
i rayon aiguillonné et 5 rayons articulés à chaque thoracine.
17 rayons à la caudale.
6 rayons à la membrane branchiale du canthère.
14 rayons à chaque nageoire pectorale.
1 rayon aiguillonné et 5 rayons articulés à chaque thoracine.
17 rayons à la nageoire de la queue.
6 rayons à la membrane branchiale de la saupe.
16 rayons à chaque nageoire pectorale.
ï rayon aiguillonné et 5 rayons articulés à chaque thoracine.
20 rayons à la caudale.
6 rayons à la membrane branchiale du spare sarbe.
15 rayons à chaque nageoire pectorale.
1 rayon aiguillonné et 5 rayons articulés à chaque thoracine.
17 rayons à la nageoire de la queue.
les profondeurs des baies, des golfes, ou de la haute
mer.
Le spare sarbe, dont la chair est agréable au goût,
et qui se plaît auprès des côtes de la mer d’Arabie,
dans les endroits vaseux et tapissés de coraux ou de'
plantes marines, est couvert d’écailles larges et argentées.
Ses pectorales sont blanchâtres, lancéolées, et
beaucoup plus longues que les thoracines. Une nuance
d’un beau jaune paroît sur ces thoracines, sur l’anale-,,
et sur la partie inférieure de la caudale.